Nobel economics prize awarded to Ben Bernanke and 2 others for work on financial crises
Published Mon, Oct 10 20225:52 AM EDT
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Jenni Reid
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U.S.-based economists Ben Bernanke, Douglas Diamond and Philip Dybvig have been awarded the Nobel prize in economic sciences for 2022 for research on banks and financial crises.

The winners of the prize — officially called the Sveriges Riksbank Prize in Economic Sciences in Memory of Alfred Nobel — receive 10 million Swedish kronor ($883,000) each.

The Royal Swedish Academy of Sciences select the winners from a list of candidates recommended by the Economic Sciences Prize Committee. This makes its selection from names submitted by around 3,000 professors, previous winners and academy members by invitation. People cannot nominate themselves.

Last year, the economics prize was split three ways. It went to David Card, for his work on labor economics; and Joshua D. Angrist and Guido W. Imbens for their contributions to the analysis of causal relationships.

Unlike the five other Nobel prizes, which have been handed out since 1901 and were bestowed in the will of Swedish inventor, chemist and engineer Alfred Nobel, the economics award was established in 1969 by Sweden’s central bank in his honor. It is the last to be announced each year.

The renowned Nobel Peace Prize was awarded Friday to Belarusian human rights activist Ales Bialiatski, Russian human rights organization Memorial and the Ukrainian NGO Center for Civil Liberties.

This year’s prize for physics went to Alain Aspect, John Francis Clauser and Anton Zeilinger, for discoveries in quantum mechanics. The Nobel committee said they had used “groundbreaking experiments” investigating particles in entangled states to begin a new era of quantum technology.

The chemistry prize was split between Carolyn R. Bertozzi, for her work using click and bioorthogonal chemistry to map cells and develop more targeted cancer treatments; and Morten Meldal and K. Barry Sharpless, who the committee said “laid the foundations of click chemistry,” which involves connecting biocompatible molecules.

The medicine prize was awarded to Svante Paabo “for his discoveries concerning the genomes of extinct hominins and human evolution.”

The prize for literature went to French author Annie Ernaux.

L’intérêt stratégique des États-Unis avant les profits.

La grande stratégie trumpienne aura et a déjà comme conséquence principale de forcer les différents pays à choisir leur camp, soit celui des États-Unis ou de leur adversaire.

Plus particulièrement, les puissances occidentales doivent choisir si elles veulent perpétuer le leadership américain.

On pense en particulier à dimension de la défense face aux puissances émergentes et à la Chine, alors que cette dernière ne pourra que répliquer à la stratégie trumpienne par ses propres mesures qui diviseront le monde davantage.

La neutralité de certains pays sera probablement de plus en plus difficile à maintenir face à deux adversaires qui verront toute résistance à leurs demandes comme une perte d’influence au profit de leur contrepartie.

Finalement, une grande stratégie trumpienne marque le retour de la prédominance des intérêts stratégiques d’un État par l’application de la diplomatie économique sur la simple politique économique.

Le GNL américain est paralysé par la saisie par l'Australie de 1,5 milliard de dollars de transactions pendant la nuit
8 avril 2025

(...) Dans une décision qui a stupéfié les traders, les analystes et les décideurs politiques, la Chine vient d'annoncer l'arrêt total de toutes ses importations de gaz naturel liquéfié en provenance des États-Unis. Une décision prise brutalement, sans indication préalable, sans réduction progressive et sans explication autre qu'une brève déclaration de Pékin.

Un instant, des méthaniers américains traversaient le Pacifique. L'instant d'après, ils étaient bloqués, leurs contrats gelés et des milliards de dollars en suspens. Il ne s'agit pas d'un simple conflit commercial. Il s'agit d'une frappe géopolitique délibérée, susceptible de remodeler l'équilibre énergétique mondial, de bouleverser des chaînes d'approvisionnement critiques et de saigner à blanc les exportateurs américains.

La Chine a été l'un des marchés à la croissance la plus rapide pour le GNL américain, important plus de quatre millions de tonnes par an. Réduire ce volume du jour au lendemain est plus que symbolique, c'est une opération chirurgicale.

Les premières réactions ont été de la panique pure et simple. Les marchés de l'énergie ont été secoués, les prix du GNL en Europe et en Asie ont connu des fluctuations brutales et les entreprises énergétiques américaines ont immédiatement subi des pertes financières. Et, plus inquiétant encore, il ne s'agit peut-être que du premier effet domino de la Chine qui modifie sa stratégie énergétique.

Des questions plus larges se posent : qui gagne, qui perd ? Et quel est le véritable objectif de cette rupture soudaine ? Est-ce une manière pour la Chine de punir Washington pour ses récents droits de douane ? Ou s'agit-il d'une stratégie plus profonde visant à réorganiser les alliances mondiales dans le secteur énergétique, en évinçant les États-Unis tout en courtisant l'Europe et en donnant du pouvoir à de nouveaux fournisseurs ?

Une chose est claire : il ne s’agit pas seulement de gaz. Il s’agit d’un rapport de force et d’un nouvel ordre mondial en marche. Accrochez-vous, car la suite pourrait bien bouleverser la donne. La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine a ravivé un accord devenu toxique. Tout a commencé avec l’imposition de droits de douane de 10 % en février par les États-Unis, qui ont instauré une nouvelle série de droits sur les importations chinoises, ravivant des tensions qui couvaient depuis les guerres commerciales de l’ère Trump.

La Maison Blanche a présenté cela comme une mesure de protection pour protéger les industries américaines. Mais Pékin a vu les choses différemment. Pour eux, c'était une provocation, une déclaration, un coup de semonce. Et maintenant, la Chine a riposté avec précision. La décision de Pékin de couper toutes les importations de GNL en provenance des États-Unis n'était pas seulement un changement commercial. C'était une mesure de représailles. Un acte calculé destiné à blesser là où ça fait mal. En gelant l'accès au GNL américain, la Chine n'a pas seulement perturbé des contrats, elle a brisé des années de diplomatie énergétique stratégique.

Du jour au lendemain, les États-Unis ont été éliminés de l'un des marchés gaziers les plus lucratifs au monde, d'une valeur de plus de 2,4 milliards de dollars par an. Il faut bien comprendre ce chiffre. Plus de 4,4 millions de tonnes de GNL américain chaque année n'ont soudain plus de débouchés.

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https://johnmenadue.com/post/2025/04/us-lng-crippled-as-australia-seizes-us1-5b-trade-overnight/

Les premières réactions ont été de la panique pure et simple. Les marchés de l'énergie ont été secoués, les prix du GNL en Europe et en Asie ont connu des fluctuations brutales et les entreprises énergétiques américaines ont immédiatement subi des pertes financières. Et, plus inquiétant encore, il ne s'agit peut-être que du premier effet domino de la Chine qui modifie sa stratégie énergétique.

Du jour au lendemain, les États-Unis ont été éliminés de l'un des marchés gaziers les plus lucratifs au monde, d'une valeur de plus de 2,4 milliards de dollars par an. Il faut bien comprendre ce chiffre. Plus de 4,4 millions de tonnes de GNL américain chaque année n'ont soudain plus de débouchés.

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Qu’est-ce que les États-Unis exportent vers la Chine ?
Selon le Bureau du représentant américain au commerce, les États-Unis ont exporté pour 144 milliards de dollars de produits vers la Chine en 2024. Sur ces 144 milliards, 125 milliards étaient des produits cultivés, produits ou fabriqués aux États-Unis (le reste étant des biens étrangers réexportés vers la Chine).

Voici les 10 principaux types de produits exportés par les États-Unis vers la Chine.
L'Arizona Republic a établi cette liste à partir des données d'exportation de produits nationaux fournies par la Commission du commerce international des États-Unis.

1) Combustibles minéraux et pétrole : 13,38 milliards de dollars, soit 11 % des exportations totales vers la Chine
2) Céréales, graines et fruits : 13,35 milliards de dollars, soit 11 % des exportations totales vers la Chine
3) Machines électriques et pièces de télévision : 11,49 milliards de dollars, soit 9 % du total des exportations vers la Chine
4) Pièces de réacteurs nucléaires et appareils mécaniques : 10,47 milliards de dollars, soit 8 % du total des exportations vers la Chine
5) Pièces d'avion : 10,2 milliards de dollars, soit 8 % du total des exportations vers la Chine
6) Pièces optiques et photographiques : 8,92 milliards de dollars, soit 7 % du total des exportations vers la Chine
7) Plastiques : 7,17 milliards de dollars, soit 6 % des exportations totales vers la Chine
8) Pièces et accessoires pour véhicules : 6,14 milliards de dollars, soit 5 % du total des exportations vers la Chine
9) Produits pharmaceutiques : 4,99 milliards de dollars, soit 4 % des exportations totales vers la Chine
10) Produits chimiques organiques : 3,88 milliards de dollars, soit 3 % des exportations totales vers la Chine

Qu’est-ce que les États-Unis importent de Chine ?
En 2024, les États-Unis ont importé pour 438 milliards de dollars de marchandises en provenance de Chine, selon le Bureau du représentant américain au commerce.

Voici les 10 principaux types de produits importés par les États-Unis de Chine, selon les données de la Commission du commerce international des États-Unis :

1) Machines électriques et pièces de télévision : 124,97 milliards de dollars, soit 28 % du total des importations en provenance de Chine
2) Pièces de réacteurs nucléaires et appareils mécaniques : 82 milliards de dollars, soit 18 % du total des importations en provenance de Chine
3) Jouets, jeux et équipements sportifs : 30,03 milliards de dollars, soit 7 % des importations en provenance de Chine
4) Plastiques : 19,29 milliards de dollars, soit 4 % des importations totales en provenance de Chine
5) Meubles, lampes et bâtiments préfabriqués : 18,52 $, soit 4 % du total des importations en provenance de Chine
6) Véhicules : 16,85 milliards de dollars, soit 4 % du total des importations en provenance de Chine
7) Fer et acier : 11,98 milliards de dollars, soit 3 % du total des importations en provenance de Chine
8) Pièces optiques et photographiques : 11,88 milliards de dollars, soit 3 % du total des importations en provenance de Chine
9) Vêtements : 9,99 milliards de dollars, soit 2 % du total des importations en provenance de Chine
10) Chaussures : 9,78 milliards de dollars, soit 2 % du total des importations en provenance de Chine

https://eu.azcentral.com/story/entertainment/life/2025/04/09/china-us-tariffs-imports-exports-trump/83008270007/

Wait and see, comme dirait Mortimer. Ursula va peut-être envoyer des sms pour reprendre le marché au même prix ?