[quote="jerome"]
En effet, les banques centrales comme la FED sont des banques privées à but lucratif !!
Idem pour la BCE même si c'est déguisé de manière plus subtile que la FED dans le dernier cas.
quote]

D'accord avec ta conclusion. Mais pas avec la cause que tu imputes.
D'après moi, c'est parce qu'elles ne sont pas entièrement privées, concurrentielles, et indépendantes du pouvoir politique, que les "Banques centrales", les instituts émetteurs de monnaie font courir le monde à la catastrophe.
Comme chaque fois que le pouvoir politique a "triché" en rognant, dévaluant ses pièces pour préserver artificiellement la paix sociale, face à un problème économique. Ou politique.

J'ai déjà laissé des posts assez complets et argumentés là-dessus.

Ce n'est pas une nouveauté.

Si on veut la stabilité monétaire, c'est le contraire de ce qu'on fait depuis 1780 (environ) qu'il faut faire: non solum supprimer toute "grosse" monnaie (€, $) sed etiam revenir à des monnaies régionales: pourquoi pas une centaine d'ateliers émetteurs en France?... reposant sur des réserves bi-métalliques, indépendants de tout pouvoir politique; et qui n'augmenteront la quantité de monnaie émise que proportionnellement à l'augmentation de la production de richesse.
Pourquoi le 92 (dép. le plus riche de Fr.) aurait-il la même monnaie que la région des Grands Causses?...

Réapprenons à penser librement; et n'oublions pas que toutes les uniformatisations, toutes les standardisations se sont TOUJOURS faites (je parle pour l'Histoire économique de la France, depuis Charlemagne) dans l'intérêt des "Grands bourgeois", et sur le dos du peuple. Nihil novi sub sole.

C'est pourquoi les idéaux économiques et monétaires de la République, pour démagogiques et séduisants qu'ils soient à court terme (crédits faciles; papier qui circule) sont pernicieux et délétères à long terme, car c'est la permanente fuite en avant, et le report des dettes sur les générations suivantes.
Ce qui finit par des guerres, chacune pire que la précédente, vu qu'on recommence ensuite en globalisant davantage.

Faut-il rappeler que la Révolution française est une révolution de la Bourgeoisie, manipulant le peuple, et à son entier profit à elle, contre les 3 "états" (Noblesse, Clergé et Tiers-Etat) de la société dite d'Ancien Régime, états qui constituaient des remparts contre les excès des banquiers. Remparts attaqués et déjà mis à mal par le scandale du banquier Law, sous Louis XV.
Faut-il rappeler que ce ne sont pas les Grands Bourgeois, mais le peuple qui a payé chèrement l'addition, de sa chair et de son sang, dans les boucheries guerrières napoléoniennes (également cause principale de l'unification progressive des 350 Etats germaniques que les moins "élaborés" de nos Rois de France avaient toujours eu l'immense sagesse de maintenir divisés, bien tenus inoffensifs entre les deux pinces de la tenaille: France et Russie)

Faut-il à l'appui rappeler que ce sont LES MEMES FAMILLES qui détiennent les fortunes et les leviers en France depuis le début de l'empire napoléonien? Les noms changent quelquefois avec les mariages, mais avec internet on peut gratter un peu.
Un seul exemple: Mme Las Cases. Ce nom ne vous dit rien?... C'était le patronyme du fameux mémorialiste de Napoléon I° à Elbe, puis à Ste-Hélène. Et maintenant, en 2009, Mme Las Cases, née GISCARD, soeur de qui vous savez; propriétaire entre autres du Chateau de la Baume, en Aubrac. Allez, cherchez, fouillez! Vous ne serez pas déçu.
Et le ministre Decazes, au coeur du XIX° siècle, avec la main-mise sur toutes les grosses productions minières françaises? Vous faites bien le rapport avec Decazeville, bien sûr... Retrouvez la généalogie, les descendants, les mariages... (et donc le nom qui change) et vous allez tomber de certaines nues.
(Je vais qd même éviter d'avoir les RG chez moi à 6 h du mat.)

Alors, relisez "l'Histoire de France", de Joseph de Maistre. Etudiez un peu l'histoire des grandes familles "régnantes" actuelles, et plus personne ne dira de khônnerie sur les Juifs, les F... M..., les Illuminati, etc.

Personne ne s'étonnera plus du merdier financier actuel.

C'est à mourir de rire!

Numismedaill 5/4,99999999 AVEC TOI

Ca saute tellement aux yeux que notre Nico ET ses sbyres (ou sa clique) nous le rappelent sans cesse, du style "on a pas élevé les cochons ensemble", "on appartient pas à la même caste" ou "classe" si vous préférez et surtout ON EST L'ELITE

Comme quoi la lutte des classes continue et ce sont eux, ceux qui devraient donner l'exemple, qui l'alimentent

Cela me fait gerber

pour commencer, rien qu'en indexant a nouveau les monnaies sur une base tangible et indiscutable (ie: metalique), on resoudrait une bonne partie du probleme...
(bon apres, que certains soient plus riches que d'autres, c'est logique...)

Indiscutable ça se discute . Avec la monnaie métallique on a quand même une monnaie dont les stocks n'évaluent pas en même temps que l'activité économique. Un grand boom économique ne fait pas augmenter la quantité d'or disponible (alors que la monnaie doit circuler plus et donc être plus nombreuse) et à l'inverse la découverte d'un grand gisement d'or (certes peu probable de nos jours, mais bon) n'est pas forcément liée à une période de prospérité économique. En théorie la monnaie est censée matérialiser les échanges économiques et la production de monnaie fiduciaire peut tout à fait suivre l'activité économique (c'est d'ailleurs sa raison d'être).

Après, je suis d'accord qu'en pratique la monnaie fiduciaire sert surtout à fabriquer de la fausse monnaie officielle et que la monnaie métallique est un moindre mal, vu qu'on ne peut pas tricher.

Article wikipedia "le magicien d'oz"

Le Magicien d'Oz (The Wonderful Wizard of Oz) est un roman pour enfants écrit en 1900 par L. Frank Baum puis publié en France aux éditions Gallimard Jeunesse en 1998 .

Le livre est un grand classique de la littérature enfantine dans le monde anglophone. en première place avec The Wind in the Willows. Il en a été tiré plusieurs adaptations cinématographiques, dont la plus célèbre est le film musical de Victor Fleming (1939), avec Judy Garland dans le rôle de Dorothy Gale et Frank Morgan dans le rôle du magicien. Les chansons du film (Over the rainbow, Follow the Yellow Brick Road et We're off to see the wizard) sont particulèrement célèbres.
Sommaire
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* 1 Intrigue
* 2 Une allégorie économique
* 3 Éditions
* 4 Notes et références

Intrigue [modifier]

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Une petite fille du nom de Dorothy, qui habite le Kansas, est enlevée avec sa maison par une tornade et transportée dans un pays merveilleux du nom d'Oz ("Oz" étant une unité de poids des métaux précieux, "l'once"; en anglais "troy ounce"). La maison tombe sur la tête de la méchante sorcière de l'est et la tue sur le coup, et Dorothy recupère les souliers d'argent (de rubis dans le film de 1939) de la sorcière. Pour trouver un moyen de rentrer au Kansas, la gentille sorcière du nord lui conseille de demander au grand et puissant magicien d'Oz, qui habite dans la cité d'Émeraude.

Pour s'y rendre il faut suivre une route de brique jaune. En chemin, Dorothy rencontre un épouvantail qui se plaint de ne pas avoir de cerveau (mais seulement de la paille) et qui, comme il se doit, s'avère être en fait très malin, un bûcheron en fer blanc qui se plaint de ne pas avoir de cœur, et un lion qui se plaint de manquer de courage. Tous trois se rendent auprès du magicien pour demander ce qu'il leur manque. Le magicien consent, à condition qu'ils éliminent la méchante sorcière de l'ouest, la seule qui reste dans le pays. Dorothy y parvient, en jetant (involontairement) un seau d'eau sur la sorcière.

Mais le magicien se trouve être un imposteur et pas du tout un magicien. Il parvient tout de même à donner à l'épouvantail, au bûcheron et au lion ce qu'il leur faut, mais il lui est plus difficile de ramener Dorothy dans le Kansas. Il construit pour cela un ballon, mais le ballon s'envole avec le magicien et sans Dorothy. En fin de compte, Dorothy peut rentrer chez elle grâce à l'aide de la gentille sorcière du sud, qui lui apprend que les souliers d'argent avaient ce pouvoir.

Une allégorie économique [modifier]

Entre 1883 et 1897, à la fin du Gilded Age, il y eut aux États-Unis une dépression. Les agriculteurs de l'Ouest s'endettèrent lourdement. L'étalon-or avait alors cours et certains économistes préconisaient d'utiliser également l'argent. Cela aurait permis d'augmenter la quantité de monnaie, aurait entraîné l'inflation et réduit le poids réel de l'endettement des agriculteurs. Cette question fut cruciale lors de l'élection présidentielle de 1896. William Jennings Bryan attaqua alors l'étalon-or. Mais ce fut William McKinley, républicain et défenseur de l'étalon-or qui devint Président. L. Frank Baum, originaire de l'Ouest, prit cause pour les agriculteurs.[réf. nécessaire] Les personnages du livre symbolisent divers figures ou événements de l'époque[1].

* Dorothée : l'américain moyen
* Toto : le parti prohibitionniste (son surnom était Teetotaler)
* Le Bûcheron en Fer Blanc : les ouvriers
* L'Épouvantail : les agriculteurs
* Le Lion Peureux : William Jennings Bryan
* Munchkins : les habitants de la côte Est
* Le Magicien : Marcus Hanna, leader du Parti Républicain
* La méchante sorcière de l'Ouest : William McKinley
* La sorcière de l'Est : Grover Cleveland, Président démocrate jusqu'en 1896, qui fut battu aux primaires par Bryan
* Le cyclone : la dépression
* Oz : l'once (unité de poids des métaux précieux "troy ounce").
* Les pantoufles d'argent : L'argent qui permettra, en touchant le chemin doré, de revenir au double étalon or - argent.

Rappel TRES utile: Big Merci!

Les monnaies émises par les banques ou les états sont forcémement inflationnistes et destinées à spolier les gens : sinon pourquoi s'emmerderait-ils à créer de la monnaie alors qu'il serait tellement plus simple de laisser les gens s'échanger des marchandises par l'intermédiaire de l'or ?

Un peu de poil a gratter:
Il est facile de voir si on vit dans une démocratie ou une dictature: il suffit d'affirmer qu'on vit dans une dictature. Si on est encore en liberté deux ou trois jours après l'avoir proclamé c'est que nous sommes dans une démocratie. (autre façon de dire que la dictature c'est ferme ta gueule et la démocratie c'est cause toujours).
Une autre façon est de passer quelques années dans un pays dont le pouvoir politico-religieux pratique le contrôle de la pensée (moyen orient, chine, afirque,..), c'est plus long mais ça permet de connaître le sens des mots et de voir la valeur de ce que nos aînés des XVIII et XIX eme siècle nous ont laissé en Europe et en Amérique du Nord.

La création de monnaie est une mécanique qui profite à tout le monde quand on est dans la phase "emprunt", argent facile et que presque tout le monde paye le jour où mes dettes sont présentées. Évidemment la mécanique qui nous a fichu dans le bourbier dans lequel nous sommes est complètement scandaleuse sur le fond mais ce n'est pas une mécanique de dictature, c'est beaucoup plus un raisonnement "démocratique" du genre comment me faire réélire en donnant à mes électeurs l'impression qu'ils s'enrichissent, en finançant une guerre absurde en Iran, en engraissant plus largement mes copains et coquins qui me fournissent l'argent pour me faire élire.
Bref c'est d'abord une responsabilité de politique démagogique et irresponsable et non de financier qui de toute façon occupera tout l'espace qu'on lui laisse occuper pour fabriquer de l'argent et prendre la part qu'on lui laissera prendre. Quand tout pète il faut trouver un coupable pour l'opinion publique. (opinion publique qui a réélu le génie)
Ce coup ci le principe du coupable est sublimé. On n'a pas de nom, on a l'idée d'un métier: tout est la faute du trader et de ses sombres manipulations incompréhensibles. Une bonne chasse à ces sorcières des temps modernes et tout ira bien.

Allez, disons "diktats" plutôt que "dictature" sachant que cette dernière est de plus en plus fine (sournoise, déguisée) et légère pour ne pas dire "passe-partout" mais dont la fermeté et le but visé sont toujours aussi destructeurs.

Bien d'accord. Ou bien "oukazes"... peu importe.
Plus besoin de goulag: mieux vaut une bonne pantoufle sur le museau.