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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 28 Juil 2014 20:40 
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silvermath a écrit:

*OBAMA SAYS G7 DISCUSSING COUNTRIES SUFFERING FROM DEBT

*OBAMA: THERE IS DISCUSSION TO BE HAD AROUND DEBT FORGIVENESS


source please?


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 16 Aoû 2014 16:08 
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Intéressant, les pensées de cet ex patron de la BIS

http://translate.google.com/translate?h ... mos-sun%2F

Chaque fois que je suis à Amsterdam, je vais dans une librairie et parcourir les étagères d'occasion dans la section de l'économie. Récemment, j'ai trouvé deux livres par le Dr Jelle Zijlstra: "Dr Jelle Zijlstra, conversations et écrits "(1979, deuxième édition) et" par slot Van rekening "(1992, cinquième édition). Le dernier titre est un chiffre néerlandais de la parole qui peut être traduit par "Le règlement final."

Par Jaco Schipper

Jelle Zijlstra était un économiste néerlandais de renom et l'un des plus fins hommes d'Etat de la Hollande. Tôt dans sa carrière, en 1948, peu de temps après la Seconde Guerre mondiale, il est devenu un professeur, spécialisée dans la vélocité de la monnaie. En 1952, il a été nommé ministre des Affaires économiques, alors trésorier néerlandais de 1958 à 1963 et de nouveau de 1966 à 1967 Au cours de son dernier mandat en tant que trésorier, il a dirigé le cabinet néerlandais en tant que Premier ministre ainsi jusqu'en 1967, après quoi il est devenu président de De Nederlandsche Bank (DNB). Alors que le président de la banque centrale néerlandaise, il a été nommé président de la Banque des règlements internationaux (BRI), ainsi, les positions qu'il a occupé jusqu'à sa démission en 1981.


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 22 Jan 2015 10:19 
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Inscrit le: 26 Mar 2010 22:57
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silvermath a écrit:
http://www.lesechos.fr/monde/europe/0203603602397-les-conseils-liberaux-de-la-bri-pour-sortir-de-la-crise-1019344.php

Citer:
Les conseils libéraux de la BRI pour sortir de la crise
Richard Hiault / Grand reporter | Le 29/06 à 15:11, mis à jour à 15:27


Ce n’est pas une simple crise du cycle économique qui généralement met 8 ans en moyenne à se résorber mais une crise du cycle financier qui a débouché sur une crise bancaire - J

Les politiques monétaire et budgétaire actuelle pas adaptées

« Il faut éliminer les divers obstacles structurels à l’innovation et à l’investissement, accroître la flexibilité des économies au plan de l’allocation du capital et du travail, surtout dans la zone euro, au Japon et dans d’autres économies où la croissance de la productivité a pris un net retard par rapport aux Etats-Unis ». Ce conseil, pour sortir de la crise, émane non pas du Fonds Monétaire International (FMI) mais de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), la banque centrale des banques centrales qui a publié, hier son rapport annuel. Elle ajoute que « ces obstacles peuvent être par exemple les distorsions induites par la fiscalité, la bureaucratie et une réglementation excessive des marchés de produits et du travail ». A croire que l’ancien Premier ministre François Fillon qui, la semaine passée, a proposé une rupture totale en France avec la fin des 35 heures, la retraite à 65 ans et la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune a eu le rapport en avant première. Car la BRI développe une analyse plutôt pessimiste dans le sens où les pays touchés par la grande crise dès 2007 vont mettre beaucoup de temps à en sortir. Cette crise est en effet différente des précédentes. Pour simplifier, ce n’est pas une simple crise du cycle économique qui généralement met 8 ans en moyenne à se résorber mais une crise du cycle financier qui a débouché sur une crise bancaire. Dans ce cas, il faut 10 à 15 ans avant de l’effacer pour peu que les dirigeants politiques prennent les bonnes décisions. Ce qui est sûr pour la BRI, c’est que la crise des bilans due au fort endettement des agents économiques (Etats, banques, ménages…) ne peut pas se résorber avec des mesures traditionnelles.

Assainir le bilan

La première raison est que les banques doivent d’abord assainir leur bilan ; la seconde est que les agents économiques trop endettés veulent réduire leur dette. « Donnez leur une unité de revenu supplémentaire, comme le ferait la politique budgétaire, et ils l’épargneront au lieu de la dépenser. Incitez les, en abaissant les taux d’intérêt, à emprunter davantage, comme le ferait la politique monétaire, et ils refuseront de s’endetter », écrit la BRI. Le message est on ne peut plus clair et s’adresse avant tout à la zone euro et aux Etats-Unis dans une moindre mesure. Outre Atlantique, « les dirigeants ont pris davantage de mesures pour contraindre les banques à comptabiliser leurs pertes et à se recapitaliser. Et d’ajouter que ce n’est pas un hasard si les Etats-Unis où les marchés du travail et des produits sont très flexibles ont connu une reprise plus vive que dans la zone euro. La politique monétaire de la BCE ne trouve guère grâce aux yeux de la BRI. « Lorsque les taux directeurs sont arrivés au plancher effectif du taux zéro et que les conséquences défavorables d’une récession de bilan persistent, la politique monétaire n’est pas le meilleur outil pour stimuler la demande et donc l’inflation ». Pire, « la politique monétaire peut contribuer à retarder l’ajustement des bilans, par exemple en encourageant la reconduction des créances douteuses ». Côté politique budgétaire, « il faut renoncer à faire de la dette le moteur principal de la croissance. A défaut, l’instabilité risque de devenir une constante de l’économie mondiale et la marge de manœuvre des pouvoirs publics pourrait disparaitre ». Rien de moins. Dans un tel contexte analytique, la BRI se montre bien plus pessimiste que le FMI concernant la croissance mondiale évaluée à seulement 2,8 % cette année contre 3,6 % pour le Fonds. Ce dernier prévoit 1% pour la France alors que la BRI ne crédite l’Hexagone que d’un maigre 0,8 % de hausse du PIB. « Il se pourrait que l’économie mondiale soit engagée sur une trajectoire qui n’est pas viable » avertit la BRI pour qui le seul moyen de renforcer durablement la croissance est d’œuvrer à des réformes structurelles et non de procéder à des mesures de stimulation budgétaire et monétaire : « le rôle de l’offre est crucial ». « Un modèle de croissance qui s’appuie trop sur la dette, publique et privée, au fil du temps sème les germes de sa défaite ».

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/020 ... eOqTO3a.99



plus que jamais d'actualité


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 22 Jan 2015 10:21 
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silvermath a écrit:
ahhhh

le rapport en français (enfin un résumé) plus digeste que le pavé de 256 pages

Pièce jointe:
ar2014_1_fr.pdf



dans la présentation : c'est clair non ? écrit noir sur blanc

Citer:
Les risques de l’inaction ne doivent pas être sous-estimés. Il se pourrait que l’économie mondiale soit engagée sur une trajectoire qui n’est pas viable. Et tôt ou
tard, l’ouverture qui caractérise actuellement les échanges et l’ordre financier pourrait être gravement remise en cause. Jusqu’ici, les structures institutionnelles se
sont montrées remarquablement résilientes au choc colossal de la crise financière, mais rien n’est acquis, surtout si de graves tensions financières devaient ressurgir.
Les bruits intermittents de « guerre des monnaies » sont particulièrement préoccupants : lorsque les politiques expansionnistes nationales ne donnent pas
les résultats escomptés, la dévaluation monétaire peut finir par apparaître comme la seule solution. Cependant, l’assouplissement compétitif peut être un jeu à somme négative lorsque tous les pays actionnent simultanément ce levier et que les politiques nationales ont des coûts internes supérieurs à leurs bénéfices. Tout aussi préoccupante est la tentation pour les États d’abandonner la tâche laborieuse mais inestimable de l’intégration internationale.
Parallèlement, le consensus sur les mérites de la stabilité des prix s’effiloche.

Et, tandis que s’estompe le souvenir du coût et de la persistance de l’inflation, la tentation pourrait grandir d’annuler l’énorme charge de la dette par une
combinaison d’inflation, de répression financière et d’autarcie.
Il reste beaucoup à faire. Les politiques publiques ont manifestement
besoin d’une nouvelle boussole.
Ce chapitre d’introduction a esquissé la feuille de route. D’importantes difficultés analytiques et opérationnelles doivent encore
être résolues avant que les politiques adoptées puissent maîtriser correctement les périodes d’expansion et de contraction financières. Les pages qui suivent décrivent
certains des outils possibles, mais il faut faire beaucoup plus. Et les défis d’ordre politico- économique sont encore plus redoutables. Comme l’histoire nous le rappelle, la vision à long terme ne fait guère d’adeptes : rares sont ceux qui prônent la modération lorsqu’une période d’expansion financière donne à chacun
l’impression trompeuse d’être plus riche ; ou qui sont prêts à renoncer aux solutions à courte vue pour remédier au ralentissement de la production, même si ces
mesures menacent d’alimenter un peu plus des booms financiers insoutenables ; ou qui sont déterminés à s’attaquer de front aux problèmes de bilan, en phase de
contraction, alors qu’ils disposent d’options apparemment plus indolores. La tentation d’aller au plus court est trop forte, même si le raccourci ne mène finalement nulle part.
La route risque d’être longue : raison de plus pour se mettre en chemin sans tarder.




reset :arrow:


on en est la


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 18 Mar 2015 19:14 
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https://www.bullionstar.com/blogs/koos- ... ructuring/


trad auto google :


Citer:
Koos Jansen
BullionStar Blogs
Koos Jansen
Posté le 18 mars 2015 par Koos Jansen
Préparation des Nations Unies pour Global Sovereign restructuration de la dette

Une lettre ouverte à tous les fonds de pension

Les Nations Unies (ONU) prépare un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette. Au plus haut niveau d'une restructuration ordonnée de la dette souveraine pour les pays développés est conçu.

Comme je l'ai déjà dit dans ces pages, effectivement le Quantitative Easing seule chose (QE) peut acheter est le temps. Depuis 2008, nos sorciers monétaires ont simplement été en mesure de garder la boîte sur la route, perpétuellement coups de pied plus loin dans l'abîme par QE. Solutions sont encore débattues entre les décideurs politiques à huis clos, comme notre système international fragile actuelle monétaire ne permet pas un débat public des changements importants ou il va risquer l'implosion.

Si des solutions durables monétaires peuvent être mises en œuvre à tous à partir du haut des organes sein d'une société de renoncer le drapeau du capitalisme reste à voir. À mon avis notre système, qui est toujours présenté comme le capitalisme, ne peut survivre que de l'apport essentiel des agents économiques opérant dans le bas du marché, la production de biens avec le travail, la fixation des prix, la prise de risque et la création de richesse réelle. Nier ces fondamentaux est ce qui nous a conduits dans cette crise.

Se il vous plaît lire ci-dessous quelques extraits de la résolution 68/304 rédigés par les Nations Unies (ONU) en Septembre 2014, la restructuration mondiale de la dette souveraine. En lisant entre les lignes l'ONU admet notre système actuel ne est pas viable et en raison de "la réforme des fragilités systémiques pour renforcer le système financier international" est nécessaire; une réinitialisation monétaire.

ONU-drapeau

Résolution adoptée par l'Assemblée générale le 9 Septembre 2014
68/304. Vers la création d'un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette souveraine

107e séance plénière

Rappelant en outre la Conférence internationale sur le financement du développement et de son document final, dans lequel le financement durable de la dette est reconnue comme un élément important pour mobiliser des ressources pour l'investissement public et privé, et de la Conférence internationale sur le financement pour le développement de suivi chargée d'examiner la mise en œuvre de le Consensus de Monterrey et son document final, la Déclaration de Doha sur le financement du développement, ainsi que la résolution 68/204 de l'Assemblée générale du 20 Décembre 2013,

... Notant que les crises de la dette souveraine sont un problème récurrent qui implique des conséquences politiques, économiques et sociales très graves et que les processus de restructuration de la dette souveraine sont un phénomène fréquent dans le système financier international,

Soulignant l'importance pour les pays en développement, sur une base au cas par cas, de l'allégement de la dette, y compris l'annulation de la dette, le cas échéant, et la restructuration de la dette que la prévention de la crise de la dette et des outils de gestion,

Soulignant également la nécessité d'œuvrer à la mise en place de politiques responsables et préventives crise financière pour renforcer les systèmes financiers nationaux transparentes et durables,

Reconnaissant le droit souverain de tout État de restructurer sa dette souveraine, qui ne devrait pas être frustré ou entravé par toute mesure émanant d'un autre État,

Reconnaissant également que les efforts d'un Etat pour restructurer sa dette souveraine ne devraient pas être frustrés ou entravés par les créanciers commerciaux, y compris les fonds spécialisés des investisseurs tels que les fonds spéculatifs, qui cherchent à entreprendre des achats spéculatifs de sa dette en détresse à des tarifs très réduits sur les marchés secondaires dans Afin de poursuivre le paiement intégral par la voie judiciaire,

... Notant également la préoccupation exprimée dans la déclaration du Sommet des Chefs d'Etat et de gouvernement du Groupe des 77 et de la Chine sur le thème «Pour un nouvel ordre mondial pour bien vivre», tenue à Santa Cruz de la Sierra, Etat plurinational de Bolivie, les 14 et 15 Juin 2014, concernant les soi-disant «fonds vautours» et leurs actions de nature hautement spéculative, qui présentent un risque pour tous les futurs processus de restructuration de la dette, aussi bien pour les pays en développement et développés,

... Rappelant, entre autres choses, le travail effectué par le Fonds monétaire international en 2003, avec le soutien du Comité monétaire et financier international, de formuler une proposition de mécanisme de restructuration de la dette souveraine,

... Soulignant également la nécessité de continuer à répondre fragilités et déséquilibres systémiques et la nécessité de poursuivre les efforts pour réformer et renforcer le système financier international,

Notant avec préoccupation que le système financier international n'a pas de cadre juridique solide pour la restructuration ordonnée et prévisible de la dette souveraine, ce qui augmente encore le coût de la non-conformité,

Reconnaissant la nécessité de créer un cadre juridique qui facilite la restructuration ordonnée des dettes souveraines, permet le rétablissement de la viabilité et de la croissance sans création d'incitations qui augmentent par inadvertance le risque de non-conformité et agit comme un effet dissuasif sur les litiges perturbateurs que les créanciers pourraient se engager en cours de négociations pour restructurer les dettes souveraines,

Soulignant, dans ce contexte, l'importance d'établir un ensemble clair de principes pour la gestion et la résolution des crises financières qui tiennent compte de l'obligation des créanciers souverains d'agir de bonne foi et avec un esprit de coopération pour atteindre un réarrangement consensuelle de la dette d'États souverains,

Souligne l'importance particulière d'une solution rapide, efficace, globale et durable aux problèmes d'endettement des pays en développement afin de promouvoir leur croissance économique inclusive et du développement;

Appels à l'intensification des efforts pour prévenir les crises de la dette en améliorant les mécanismes financiers internationaux pour la prévention et la résolution des crises, en coopération avec le secteur privé, en vue de trouver des solutions acceptables pour tous;

Invite tous les États Membres et le système des Nations Unies, et invite les institutions de Bretton Woods et le secteur privé, à prendre des mesures et des actions appropriées pour la mise en œuvre des engagements, accords et décisions des grandes conférences et sommets des Nations Unies, en particulier ceux liée à la question de la viabilité de la dette extérieure des pays en développement;

Reconnaît le rôle des Nations Unies et les institutions financières internationales conformément à leurs mandats respectifs, et les encourage à continuer à soutenir les efforts mondiaux en faveur du développement durable et une solution durable au problème de la dette des pays en développement;

Décide d'élaborer et d'adopter un processus de négociations intergouvernementales, comme une question de priorité pendant sa soixante-neuvième session, un cadre juridique multilatéral pour les processus souverains de restructuration de la dette en vue, entre autres, à accroître l'efficacité, la stabilité et la prévisibilité de la système financier international et la réalisation soutenue, une croissance économique inclusive et équitable et le développement durable, en fonction des circonstances et des priorités nationales;

Décide également de définir les modalités pour les négociations intergouvernementales et l'adoption du texte du cadre juridique multilatéral à la partie principale de sa soixante-neuvième session, avant la fin de 2014.

D'autres réunions ad hoc sur un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette , ouvert à tous les États membres et observateurs de l'Organisation des Nations Unies, ont eu lieu en Février de cette année et se poursuivra jusqu'en Mars, Mai et Juin à New York.

h / t Matt McBride

Koos Jansen
E-mail Koos Jansen sur: koos.jansen@bullionstar.com


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 18 Mar 2015 20:41 
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silvermath a écrit:
https://www.bullionstar.com/blogs/koos-jansen/un-preparing-for-global-sovereign-debt-restructuring/


trad auto google :


Citer:
Koos Jansen
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Préparation des Nations Unies pour Global Sovereign restructuration de la dette

Une lettre ouverte à tous les fonds de pension

Les Nations Unies (ONU) prépare un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette. Au plus haut niveau d'une restructuration ordonnée de la dette souveraine pour les pays développés est conçu.

Comme je l'ai déjà dit dans ces pages, effectivement le Quantitative Easing seule chose (QE) peut acheter est le temps. Depuis 2008, nos sorciers monétaires ont simplement été en mesure de garder la boîte sur la route, perpétuellement coups de pied plus loin dans l'abîme par QE. Solutions sont encore débattues entre les décideurs politiques à huis clos, comme notre système international fragile actuelle monétaire ne permet pas un débat public des changements importants ou il va risquer l'implosion.

Si des solutions durables monétaires peuvent être mises en œuvre à tous à partir du haut des organes sein d'une société de renoncer le drapeau du capitalisme reste à voir. À mon avis notre système, qui est toujours présenté comme le capitalisme, ne peut survivre que de l'apport essentiel des agents économiques opérant dans le bas du marché, la production de biens avec le travail, la fixation des prix, la prise de risque et la création de richesse réelle. Nier ces fondamentaux est ce qui nous a conduits dans cette crise.

Se il vous plaît lire ci-dessous quelques extraits de la résolution 68/304 rédigés par les Nations Unies (ONU) en Septembre 2014, la restructuration mondiale de la dette souveraine. En lisant entre les lignes l'ONU admet notre système actuel ne est pas viable et en raison de "la réforme des fragilités systémiques pour renforcer le système financier international" est nécessaire; une réinitialisation monétaire.

ONU-drapeau

Résolution adoptée par l'Assemblée générale le 9 Septembre 2014
68/304. Vers la création d'un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette souveraine

107e séance plénière

Rappelant en outre la Conférence internationale sur le financement du développement et de son document final, dans lequel le financement durable de la dette est reconnue comme un élément important pour mobiliser des ressources pour l'investissement public et privé, et de la Conférence internationale sur le financement pour le développement de suivi chargée d'examiner la mise en œuvre de le Consensus de Monterrey et son document final, la Déclaration de Doha sur le financement du développement, ainsi que la résolution 68/204 de l'Assemblée générale du 20 Décembre 2013,

... Notant que les crises de la dette souveraine sont un problème récurrent qui implique des conséquences politiques, économiques et sociales très graves et que les processus de restructuration de la dette souveraine sont un phénomène fréquent dans le système financier international,

Soulignant l'importance pour les pays en développement, sur une base au cas par cas, de l'allégement de la dette, y compris l'annulation de la dette, le cas échéant, et la restructuration de la dette que la prévention de la crise de la dette et des outils de gestion,

Soulignant également la nécessité d'œuvrer à la mise en place de politiques responsables et préventives crise financière pour renforcer les systèmes financiers nationaux transparentes et durables,

Reconnaissant le droit souverain de tout État de restructurer sa dette souveraine, qui ne devrait pas être frustré ou entravé par toute mesure émanant d'un autre État,

Reconnaissant également que les efforts d'un Etat pour restructurer sa dette souveraine ne devraient pas être frustrés ou entravés par les créanciers commerciaux, y compris les fonds spécialisés des investisseurs tels que les fonds spéculatifs, qui cherchent à entreprendre des achats spéculatifs de sa dette en détresse à des tarifs très réduits sur les marchés secondaires dans Afin de poursuivre le paiement intégral par la voie judiciaire,

... Notant également la préoccupation exprimée dans la déclaration du Sommet des Chefs d'Etat et de gouvernement du Groupe des 77 et de la Chine sur le thème «Pour un nouvel ordre mondial pour bien vivre», tenue à Santa Cruz de la Sierra, Etat plurinational de Bolivie, les 14 et 15 Juin 2014, concernant les soi-disant «fonds vautours» et leurs actions de nature hautement spéculative, qui présentent un risque pour tous les futurs processus de restructuration de la dette, aussi bien pour les pays en développement et développés,

... Rappelant, entre autres choses, le travail effectué par le Fonds monétaire international en 2003, avec le soutien du Comité monétaire et financier international, de formuler une proposition de mécanisme de restructuration de la dette souveraine,

... Soulignant également la nécessité de continuer à répondre fragilités et déséquilibres systémiques et la nécessité de poursuivre les efforts pour réformer et renforcer le système financier international,

Notant avec préoccupation que le système financier international n'a pas de cadre juridique solide pour la restructuration ordonnée et prévisible de la dette souveraine, ce qui augmente encore le coût de la non-conformité,

Reconnaissant la nécessité de créer un cadre juridique qui facilite la restructuration ordonnée des dettes souveraines, permet le rétablissement de la viabilité et de la croissance sans création d'incitations qui augmentent par inadvertance le risque de non-conformité et agit comme un effet dissuasif sur les litiges perturbateurs que les créanciers pourraient se engager en cours de négociations pour restructurer les dettes souveraines,

Soulignant, dans ce contexte, l'importance d'établir un ensemble clair de principes pour la gestion et la résolution des crises financières qui tiennent compte de l'obligation des créanciers souverains d'agir de bonne foi et avec un esprit de coopération pour atteindre un réarrangement consensuelle de la dette d'États souverains,

Souligne l'importance particulière d'une solution rapide, efficace, globale et durable aux problèmes d'endettement des pays en développement afin de promouvoir leur croissance économique inclusive et du développement;

Appels à l'intensification des efforts pour prévenir les crises de la dette en améliorant les mécanismes financiers internationaux pour la prévention et la résolution des crises, en coopération avec le secteur privé, en vue de trouver des solutions acceptables pour tous;

Invite tous les États Membres et le système des Nations Unies, et invite les institutions de Bretton Woods et le secteur privé, à prendre des mesures et des actions appropriées pour la mise en œuvre des engagements, accords et décisions des grandes conférences et sommets des Nations Unies, en particulier ceux liée à la question de la viabilité de la dette extérieure des pays en développement;

Reconnaît le rôle des Nations Unies et les institutions financières internationales conformément à leurs mandats respectifs, et les encourage à continuer à soutenir les efforts mondiaux en faveur du développement durable et une solution durable au problème de la dette des pays en développement;

Décide d'élaborer et d'adopter un processus de négociations intergouvernementales, comme une question de priorité pendant sa soixante-neuvième session, un cadre juridique multilatéral pour les processus souverains de restructuration de la dette en vue, entre autres, à accroître l'efficacité, la stabilité et la prévisibilité de la système financier international et la réalisation soutenue, une croissance économique inclusive et équitable et le développement durable, en fonction des circonstances et des priorités nationales;

Décide également de définir les modalités pour les négociations intergouvernementales et l'adoption du texte du cadre juridique multilatéral à la partie principale de sa soixante-neuvième session, avant la fin de 2014.

D'autres réunions ad hoc sur un cadre juridique multilatéral pour les processus de restructuration de la dette , ouvert à tous les États membres et observateurs de l'Organisation des Nations Unies, ont eu lieu en Février de cette année et se poursuivra jusqu'en Mars, Mai et Juin à New York.

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Du pain béni pour la Grèce


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 20 Mar 2015 16:41 
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http://www.les-crises.fr/taux-000-tout-va-bien/



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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 05 Aoû 2015 15:25 
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http://news.goldseek.com/GoldSeek/1438701762.php


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 07 Sep 2015 17:15 
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tiens tiens .... 8-)

http://www.latribune.fr/economie/union- ... 03166.html

Citer:
La patron de la Bundesbank, Jens Weidmann, élu à la tête de la BRI
Par latribune.fr | 07/09/2015, 16:26 | 264 mots

Conseiller économique d'Angela Merkel à partir de 2006, Jens Weidmann occupe la présidence de la "Buba" depuis mai 2011.

Rassemblant 60 banques centrales, la Banque des règlements internationaux a pour mission de promouvoir la stabilité monétaire et la coopération internationale. À la tête de la Bundesbank, Jens Weidmann, s'était imposé comme le "Monsieur Non" de l'Europe ou encore comme "l'anti-Mario Draghi", le président de la Banque centrale européenne critiqué pour son laxisme.

Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, succédera au Français Christian Noyer à la tête de la Banque des règlements internationaux (BRI) pour un mandat de trois ans qui débute le 1er novembre, a annoncé l'institution lundi 7 septembre. Il a été élu par le conseil d'administration de la BRI, instance qui est responsable de la direction stratégique et politique de l'institution, laquelle rassemble quelque 60 banques centrales avec pour mission de promouvoir la stabilité monétaire et la coopération internationale.

Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, présidait la "banque centrale des banques centrales" depuis mars 2010. Son deuxième mandat s'achève le 31 octobre avec la fin de son mandat à la BdF.
"L'anti-Draghi"

Conseiller économique d'Angela Merkel à partir de 2006, Jens Weidmann occupe la présidence de la "Buba" depuis mai 2011, succédant à Axel Weber. À l'époque, ce dernier avait recommandé sa candidature en le qualifiant d'"excellent économiste", insistant sur son âge (42 ans alors) : "en dépit de sa jeunesse, il a beaucoup d'expérience et est un grand professionnel".

À la tête de la Bundesbank, Jens Weidmann, s'est imposé comme l'anti-Draghi, le président de la banque centrale européenne, comme l'écrit Die Zeit. Dans un article paru en janvier, l'hebdomadaire allemand rappelait l'attachement du plus jeune président de la "Buba" au respect des règles. Considéré comme le "Monsieur "Non" de l'Europe", Jens Weidmann a ainsi vivement critiqué l'assouplissement quantitatif décidé par la BCE, considérant l'offensive monétaire comme "risquée" et "la regardant avec scepticisme".

(avec Reuters)


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 Sujet du message: Re: Quelle est donc la "nouvelle boussole" de la BRI ?
MessagePublié: 07 Mar 2016 14:31 
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oh oh ça commence à sentir la .....



"BIS: Global debt now stands at over 200% of GDP, exceeding levels seen before the financial crash in 2007."


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