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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 23 Juin 2017 10:37 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 27 Juin 2017 11:03 
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pour archive

il es ttemps daller chercher mes gaps

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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 27 Juin 2017 13:29 
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https://russeurope.hypotheses.org/6107

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Une crise des banques dans l’Union européenne?

par Jacques Sapir · 24 juin 2017

Voilà une information qui n’a pas fait les gros titres des journaux, et sur laquelle les médias radio et télé sont restés silencieux. En Italie[1], en Espagne, des banques sont en crises, et sont rachetées par des concurrents, bien souvent à l’Euro symbolique, ou presque. On dira que, si cette nouvelle n’a pas fait les gros titres c’est qu’il n’y a pas de problèmes. A dire vrai, l’Union Bancaire, créée depuis quelques années, devait être un mécanisme de résolution de telles crises. Alors, peut-on penser que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Certes non, et c’est la raison pour laquelle j’ai invité Benjamin Masse-Stamberger, journaliste économique et membre du Comité Orwell et Josse Roussel, professeur à la Paris School of Business à venir en discuter dans le cadre des Chroniques de Jacques Sapir sur Radio-Sputnk.
Crises en Espagne et en Italie

En réalité, ces événements sont inquiétants à deux titres, et c’est pourquoi ils auraient une meilleure couverture médiatique. Tout d’abord parce que ces sauvetages – et c’est bien de cela dont il s’agit en réalité – seront coûteux. C’est en particulier le cas pour le sauvetage des deux banques italiennes, la Veneto Banca et la Banca Popolare di Vicenza, Dans ce cas, les « mauvaises dettes » de ces deux établissements seront transférées à un établissement particulier, ce que l’on appelle une « bad bank ». Ceci aura nécessairement un coût pour le contribuable italien, un coût estimé à 10 milliards d’Euros, soit 0,6% du PIB. Dans le cas espagnol, la Banco Santander a racheté la Banco Popular pour l’Euro symbolique, mais elle a acquis aussi la totalité de l’actif, incluant les mauvaises dettes. Ce établissement pourrait bien découvrir, dans les semaines à venir, que le coût de ces opérations est loin d’être ce qui avait été initialement prévu. Il faut ajouter que les règles de répartition des coûts pourraient faire supporter une partie de ces derniers aux épargnants, alors que ceux-ci ne sont nullement concernés dans ces opérations.
Un coup de canif dans l’Union bancaire?

Un point est ici à remarquer. Ce qui a été fait en Italie, et qui de ce point de vue est une grande différence avec ce qui a été fait en Espagne, constitue une négation du mécanisme de l’Union Bancaire. Ce point a été clairement établi par Ferdinando Giugliano dans un récent article publié sur Bloomberg[2]. L’Union Bancaire cherchait justement à éviter l’implication des Etats dans la résolution des crises bancaires. Mais, le gouvernement italien en a décidé autrement, fragilisant encore plus un mécanisme dans lequel l’Allemagne ne s’est engagé qu’avec réticence. On peut penser que ces réticences deviendront encore plus grandes avec l’attitude du gouvernement italien, et que l’Allemagne suspendra définitivement sa participation à l’Union bancaire.
Des crises révélatrices de désordres profonds…

Mais il y a une autre raison pour laquelle ces nouvelles auraient mérité de figurer en première place dans les médias français. On est en train de réaliser que ces crises bancaires impliquent que la situation macroéconomique dans la zone Euro n’est pas encore revenue à la normale, loin de là. Et ceci va à contrario avec le discours lénifiant que tiennent les autorités, mais aussi les journalistes, sur cette question. D’ailleurs, si l’on regarde les encours de crédit en France et en Italie, on verra que l’on est loin d’avoir retrouvé le niveau d’avant la crise de 2007-2008.

Graphe 1

S’il y a crise bancaire, il convient de le rappeler, c’est parce qu’il y a une accumulations des mauvaises dettes dans le bilan de ces banques. Mais, s’il y a une accumulation des mauvaises dettes, c’est parce que tout un secteur de l’économie, que ce soit les petites entreprises, ou les ménages, va mal. Une crise bancaire est toujours profondément révélatrice de problèmes bien plus profonds dans l’économie. D’où une interrogation : Une nouvelle crise des banques européennes est-elle possible ? De ce point de vue, il convient de regarder les évolutions du marché hypothécaire. Si une crise devait survenir d’ici les prochains mois sur ce marché, elle affaiblirait la position de nombreuses banques, et pourrait faire ressurgir le spectre d’une crise systémique du système bancaire dans les différents pays européens.



Pour en discuter des l’ensemble de ces problèmes, J’ai donc reçu dans le cadre des « Chroniques de Jacques Sapir » sur radio-sputnik Benjamin Masse-Stamberger, journaliste économique et membre du Comité Orwell et Josse Roussel, professeur à la Paris School of Business. Vous pouvez retrouver la vidéo de cette émission ici[3].

Pour Benjamin Masse-Stamberger: «malgré ce qu’on nous dit, l’économie dans la zone euro s’améliore un petit peu, c’est vrai, mais on n’a pas un véritable redémarrage qui serait fondé sur des fondamentaux véritablement solides. On a un redémarrage qui a été effectivement fondé sur la politique qui a été menée par la Banque centrale européenne avec des injections de liquidités, une politique très expansionniste et puis à nouveau, sur de l’endettement public et de l’endettement privé».

Pour Josse Roussel, le risque principal vient à la fois de l’évolution du modèle économique des banque mais aussi du : «… marché obligataire. On a des marchés obligataires qui sont survalorisés, les rendements obligataires sont à un niveau historiquement bas, ce qui veut dire que les obligations sont extrêmement chères puisque les deux évoluent en sens inverse. Il y a donc un risque que ces marchés obligataires retrouvent des niveaux de valorisation beaucoup plus faibles, c’est-à-dire qu’il y ait un krach obligataire».

[1] https://www.bloomberg.com/news/articles ... conditions

[2] https://www.bloomberg.com/view/articles ... g-in-italy

[3] https://fr.sputniknews.com/radio_sapir/ ... gne-crise/


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 27 Juin 2017 13:37 
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Le sauvetage des banques italiennes sème le trouble sur l'Union bancaire
Edouard LedererOlivier Tosseri Le 27/06 à 06:00
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Le sauvetage banques italiennes sème trouble l'Union bancaire
Le sauvetage des banques italiennes sème le trouble sur l'Union bancaire
L'intervention de l'Etat italien a été validée par l'Europe et saluée par les marchés.
Mais le scénario appliqué aux banques vénitiennes jette le trouble sur le principe du « bail in ».

En sortant le carnet de chèques ce week-end pour restructurer les deux banques vénitiennes, Popolare di Vicenza et Veneto Banca, l'Etat italien a stoppé net un interminable feuilleton. Mais l'opération ne lève pas les incertitudes sur la santé du secteur bancaire italien et jette le trouble sur le système européen des faillites bancaires. Revue de détail.
L'avenir des banques vénitiennes est-il désormais clair ?

Bankitalia a nommé les commissaires qui seront chargés de procéder à la restructuration des deux établissements. Parmi eux, Fabrizio Viola, ex-administrateur de Popolare di Vicenza. Ils devront mettre en place un véritable plan « de sang et de larmes » avec la fermeture de 600 agences et la mise à contribution du Fonds de solidarité bancaire pour le départ sur base volontaire de 3.900 salariés. Plus que le sauvetage des deux banques vénitiennes, c'est donc leur disparition pure et simple qui a été évitée. Intesa Sanpaolo - déjà première banque en Vénétie avec un peu moins de 800 agences, soit autant que les deux banques vénitiennes réunies - renforce sa place de premier groupe bancaire du pays.
Quelle est la stratégie des autorités italiennes ?

Outre la nécessité de défendre les petits porteurs de dette bancaire et les épargnants à moins d'un an des élections législatives, le gouvernement de Paolo Gentiloni a évité au secteur bancaire du pays une nouvelle crise qu'il ne pouvait pas se permettre. L'application des instruments européens de « bail in » aurait obligé le Fonds interbancaire de garantie des dépôts à débourser 12,5 milliards d'euros. Intesa Sanpaolo aurait ainsi perdu 2,5 milliards d'euros, mais serait demeuré le seul établissement à respecter encore les ratios de fonds propres réglementaires. Tous les autres auraient été contraints de lancer de nouvelles augmentations de capital incertaines, plongeant le système dans la crise.
Quelles réactions au lendemain de cette intervention ?

Lundi, l'indice phare de la Bourse de Milan a gagné 0,81 %, tiré par le secteur bancaire avec le titre d'Intesa Sanpaolo en tête qui enregistrait un flatteur +3,52 %. L'écart de taux entre l'Italie et l'Allemagne est redescendu à 165 points. Mais si le gouvernement et les milieux financiers se félicitent, l'opposition critique un énième sauvetage coûteux alors que 10 milliards d'euros environ ont déjà été mobilisés par le passé pour éviter la faillite à plusieurs établissements dont Monte dei Paschi (MPS) et les quatre petites banques régionales toscanes.
D'autres banques italiennes sont-elles en danger ?

Le système bancaire reste fragile. D'après une étude de Mediobanca (portant sur 500 banques), 114 établissements affichent un niveau de crédits détériorés inquiétant car supérieur à leur actif net. Parmi eux, les caisses d'épargne de Cesena (Caricesena) et de San Miniato (Carismi), récemment reprises par le Crédit Agricole, ou encore la Banque Populaire de Salerno, en Campanie. Bankitalia a également pointé comme banques à risque en 2017 la Popolare dell'Etna, les BCC di Terra d'Otranto, d'Irpina ou encore les caisses d'épargne de Loreto et de Chieti. Autant de banques trop petites pour mettre véritablement le secteur en danger. Reste la génoise Carige, parmi les 20 principales banques du pays. L'établissement devra affronter un plan drastique de réduction de plus de 7 milliards d'euros de créances douteuses et une augmentation de capital d'environ 500 millions d'euros.
Le scénario se complique-t-il pour MPS ?

Pas vraiment. MPS devrait profiter de la résolution de la crise des banques vénitiennes. Un secteur bancaire italien plus stable ne pourra que favoriser la mise en oeuvre d'un nouveau plan industriel qui sera dévoilé dans les semaines à venir. Lundi, le vice-gouverneur de la Banque d'Italie a expliqué que le plan de sauvetage était désormais finalisé, la Commission européenne n'ayant plus qu'à officialiser son accord.
La logique du « bail in » est-elle déjà remise en question ?

Il y a quinze jours, l'Union européenne étrennait en Espagne ses habits de « liquidateur » bancaire : Santander reprenait pour 1 euro l'ensemble des actifs de Banco Popular (bons comme « toxiques ») mettant à contribution les actionnaires et certains détenteurs de dette. Un parfait exemple de résolution bancaire, censée régner en Europe : lorsqu'une banque est en difficulté, l'Etat ne doit plus voler à son secours et le secteur privé prend ses pertes. Le scénario italien est bien différent : le champion local - Intesa - reprend pour 1 euro symbolique uniquement les parties saines de la banque. Les finances publiques se chargeant de délester l'ensemble de ses prêts non performants. Une différence de traitement prévue par les réglementations européennes, qui ont laissé s'appliquer le droit local des faillites. En l'occurrence, le superviseur européen a considéré « l'absence de fonction critique exercée par ces banques et l'absence d'impact systémique de leur faillite sur la stabilité financière », explique le directeur des études économiques de l'Ieseg School of Management. Reste à savoir si ces traitements encore peu uniformes - à l'encontre des promesses de l'Union bancaire - ne vont pas jeter le trouble. Lundi, Friederike von Tiesenhausen, porte-parole du ministère allemand des Finances, a souligné - sans commenter de cas particulier - que « le recours à une aide publique devrait être évité autant que possible dans les situations de faillite ». Les investisseurs, détenteurs d'actions ou de dette bancaire, risquent aussi de manquer de visibilité : outre l'Italie, le stock des actifs bancaires reste encore médiocre en Irlande, ou encore au Portugal.
Edouard Lederer et Olivier Tosseri, Les Echos
Correspondant à Rome


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 27 Juin 2017 14:06 
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Inscrit le: 05 Déc 2012 23:05
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WHEN THIS MASSIVE BUBBLE POPS… What Will Happen To The Precious Metals?
https://srsroccoreport.com/when-this-ma ... us-metals/


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 27 Juin 2017 15:42 
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que se passe t il ? il y a un pb ? mdr



http://www.lemonde.fr/argent/article/20 ... 57007.html

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Que faire de ses placements obligataires ?

Alors que les taux remontent des deux côtés de l’Atlantique, les épargnants doivent repenser leur stratégie.

LE MONDE ECONOMIE | 24.06.2017 à 10h41 | Par Franck Pauly

« Que faire de vos obligations et de vos fonds obligataires ? Il n’est jamais bon d’en détenir beaucoup lorsque les taux remontent. »

Epargnants, attention danger, les taux d’intérêt remontent ! La Réserve fédérale (Fed), la banque centrale américaine, a relevé le 21 juin ses taux directeurs pour la troisième fois en sept mois. Elle devrait le faire encore une fois avant la fin de l’année, puis trois fois en 2018, ce qui porterait le niveau moyen des taux à 2,1 % outre-Atlantique. Dans son sillage, la Banque centrale européenne va abandonner sa politique monétaire ultra-accommodante, probablement en 2018.

Dès lors, que faire de vos obligations et de vos fonds obligataires ? Il n’est jamais bon d’en détenir beaucoup lorsque les taux remontent. Pourquoi ? Comme les nouvelles obligations émises sont mieux rémunérées, le cours des obligations anciennes baisse mécaniquement. « La rentabilité des placements obligataires est si faible qu’une remonté des taux de 1 % entraîne mécaniquement une baisse de 10 % des fonds obligataires », explique Jean-Jacques Teissedre, conseiller en patrimoine à Alès.

Les fonds en euros, qui représentent plus de 75 % des encours des contrats d’assurance-vie en France, sont investis essentiellement en obligations d’Etat. Leur rendement est tombé à un niveau très bas en 2016 : 1,8 %, en moyenne. Ce qui a incité François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, à lancer plusieurs alertes, soulignant le danger que fait planer une rémunération aussi faible sur le placement préféré des Français.
Obligations à « haut rendement » plus risquées

Fin 2016, la loi Sapin 2 a autorisé le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) à bloquer en partie les retraits en cas de « menace grave et caractérisée » du système financier. Bref, la perspective d’une remontée des taux fait peur.

Pourtant, toutes les obligations ne sont pas logées à la même enseigne : elles ne réagissent pas de la même façon à une remontée des taux. Quel type d’obligations faut-il favoriser dans le contexte actuel ? Première piste envisageable : les obligations...


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 28 Juin 2017 06:32 
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Croisement m20 m50 hebdo gold avec appui m200

Test m200 daily ok sur le flash krach

Gros depart


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 28 Juin 2017 06:36 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 28 Juin 2017 10:29 
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silvermath a écrit:
Croisement m20 m50 hebdo gold avec appui m200

Test m200 daily ok sur le flash krach

Gros depart


allezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz mm200 se retourne, touch , croisement m20 m 50


GAME OVER

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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 28 Juin 2017 10:32 
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Inscrit le: 28 Mar 2010 12:58
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merci de mettre des graphs en euros

rien à faire se suivre l'or et l'argent en dollars

surtout si le dollar baisse .... et l'euro monte

:D


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