Reçu par mail hier.
(Pas trop compris car juste assuré chez eux, mais je compatis avec leurs craintes
)
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Que s’est-il passé ?
Depuis notre dernière communication, les principales places financières continuent de baisser. Sur le début d’année 2016 le CAC 40 a perdu près de 16 % *, le Dow Jones plus de 7 % * et le Shanghai Composite plus de 22 % *. Dans le sillage de janvier, les dernières séances en date ont bien illustré la fébrilité des investisseurs avec une très forte volatilité.
Pourquoi ?
Depuis quelques semaines, les marchés se focalisent sur le cours du pétrole. La chute du prix du baril est perçue comme le symbole du ralentissement mondial et plus particulièrement comme le fléchissement de la croissance des pays dits émergents, dont la Chine.
Bon nombre d’investisseurs s’inquiètent de cette très forte baisse et de ses effets collatéraux.
Les entreprises du secteur pétrolier ou parapétrolier ont d’abord été touchées et, depuis ces derniers jours, cette tendance s’est étendue au secteur bancaire particulièrement en Europe du fait des prêts accordés à cette industrie.
L’hypothèse d’un ralentissement de l’économie mondiale reste présente chez les investisseurs et les Banques centrales.
Et maintenant ?
En cette période, toute nouvelle concernant la croissance ou le prix du pétrole pourrait impacter les bourses aussi bien positivement que négativement et impliquer de grandes fluctuations sur les marchés. Ces mouvements sur les marchés sont pour l’instant plus liés à un sentiment des investisseurs qu’à un risque réel.
En effet, aux USA, le marché de l’emploi est fort et l’économie n’est pas en surchauffe. Rien ne laisse présager à ce stade d’une situation de récession.
Sur la Chine, si la vigilance reste de mise, la vision de nos experts reste celle d’un atterrissage maîtrisé de la croissance, estimée autour de 6 % cette année. En zone Euro, les craintes se sont concentrées sur une banque allemande et sur des banques italiennes. Toutefois, l’économie reste relativement robuste, soutenue par de nombreux facteurs : croissance du crédit et taux d’emprunt bas, baisse du chômage dans la plupart des pays, coût réduit du pétrole, faiblesse de l’Euro. Plus récemment, on a assisté à une reprise de la consommation. Dans cet environnement, nos analystes restent positifs sur la zone Euro.
Et pour vous ?
Vous avez confié une partie de votre épargne à AXA. Avec votre conseiller, vous avez défini une stratégie correspondant à vos besoins, vos exigences, votre horizon de placement et votre profil d’épargnant. Dans le cadre d’un contrat d’assurance vie, cette stratégie s’inscrit dans un investissement de long terme.
Dans ce contexte de turbulences, il est important de conserver le cap que vous avez défini et de ne prendre de décision qu’en fonction de ces objectifs d’investissement.
Votre conseiller reste à votre écoute pour vous accompagner dans les choix de solutions correspondant à vos besoins et vos exigences.
Nous continuerons, comme nous l’avons fait depuis le début de cette agitation des marchés, à vous tenir au courant de l’évolution de la situation et ne manquerons pas de revenir vers vous si de nouveaux évènements majeurs l’exigeaient.