Fondamentalement, tout le monde devrait pouvoir acheter ce qu’il veut avec son argent sans qu’il soit nécessaire de déclarer son identité immédiatement et de la communiquer à l’État.

C'est aussi ce que je croyais... mais certains actifs sont surveillés de très près.

Ils ont peur car l'euro est en fin de vie... Ils ont peur que le Peuple fuit cette mauvaise monnaie.

Sauf que le Danemark ne fait pas partie de la zone Euro. Difficile alors de faire un lien entre une mesure prise par le Danemark et l'état de santé de l'Euro.
Personnellement, je ne pense pas que la motivation des Etats à contrôler le cash (et accessoirement tout ce qui pourrait servir de monnaie alternative : crypto, mpx ...), n'est pas principalement lié à une crainte relative à la monnaie, mais relève bien plus de considération fiscale.
Si le bitcoin, ou toute autre monnaie alternative (et intraçable pour les services fiscaux) se répandait et venait à être utilisé massivement, c'est tout le système fiscal qui s'écroule et en conséquence l'Etat lui même.
C'est pour cette raison que tous les Etats (même ceux disposant d'une monnaie solide) font ou feront la chasse au cash et à toute forme de monnaie alternative, l'argent doit être traçable pour être taxable.

Ce qui suit a-til à voir avec la guerre contre le cash?
Dans un Intermarché dédié au bricolage, département 05: pour payer en liquide il y a UN appareil pour les 3 caisses, dans lequel on met son paiement, c'est l'appareil qui compte pièces et billets et la caissière doit valider le paiement. Du coup, quand il y a du monde on doit aussi faire la queue pour payer en liquide, ou alors on peut régler immédiatement par carte parce que là c'est un lecteur de carte par caisse .

L'année 2020 de cette libraire de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) ne commence pas de la meilleure des façons. Après avoir critiqué sa banque sur Twitter, celle-ci va voir l'ensemble de ses comptes et ceux de sa famille clôturés. Mais l'établissement se défend, et nie que sa décision ait un lien avec les messages publics de sa cliente.

La libraire raconte s'être plainte le 22 octobre au service clients de sa banque, dans un message publié sur Twitter, après avoir dû appeler 36 fois son agence sur une journée avant que quelqu’un ne lui réponde, suite à une défaillance de son terminal de paiement électronique (TPE).

Très active sur les réseaux sociaux, elle avait déjà affiché plusieurs fois en septembre sur Twitter son mécontentement face à des dysfonctionnements récurrents de son terminal de paiement et à l'absence de réponse du service client de la Société Générale, dont elle est cliente depuis 2011. «Piqué au vif, le directeur m’appelait enfin, me menaçant de fermer mes comptes, si je continuais à tweeter», raconte-t-elle sur Facebook. Une menace rapidement mise à exécution puisque, quelques semaines plus tard, la libraire reçoit un courrier recommandé de la Société Générale, daté du 12 décembre, l'informant de la prochaine fermeture de son compte professionnel, dans le délai de 60 jours légal, en raison d'un dépassement de découvert non autorisé. «Un prétexte», affirme Julie Goislard à l'AFP, qui conteste avoir eu ce découvert, et assure avoir réglé l'ensemble de ses crédits.