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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 05 Juin 2016 18:28 
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Perso, je veux bien une retraite de 2500 € maintenant!...
Pour arriver à cette somme, il faudrait que je bosse jusqu'à 66 ans 1/2. Pfff...

Ce qui me permettrait de me remettre sereinement à vendre toutes mes petites conneries!

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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 05 Juin 2016 20:46 
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ETRE PAYÉ À NE RIEN FAIRE, UN RÊVE QUI NE DEVIENDRA PAS RÉALITÉ EN SUISSE

Les partisans du RBI ont tout de même lancé une collecte de fonds sur internet afin de verser 2.500 francs suisses (2.260 euros) par mois pendant un an à une personne tirée au sort. Carole, une Zurichoise de 30 ans, diplômée en ethnologie, est la première gagnante. Ces défenseurs du revenu de base considère que cela est devenu "indispensable" face au chômage élevé provoqué par la robotisation croissante, explique à l'AFP l'un des pères de l'initiative, Ralph Kundig.

L'initiative suggérait une mensualité de 2.500 francs suisses par adulte - avec laquelle il est très difficile de vivre en Suisse - et de 625 francs suisses pour les mineurs. Un travailleur gagnant auparavant 7.000 francs suisses toucherait 2.500 francs de RBI et 4.500 francs de salaire. Ceux qui disposent de moins de 2.500 francs par mois toucheraient ce montant.

A Berne, gouvernement, Parlement et partis, sauf les Verts et l'extrême-gauche, dénoncent en bloc l'idée d'un RBI. "C'est un vieux rêve, un peu marxiste. Pleins de bons sentiments irréfutables mais sans réflexion économique", observe le directeur du Centre international d'études monétaires et bancaires à Genève, Charles Wyplosz.

Principal critique, le coût de cette mesure, de 208 milliards de francs suisses pour toute la Suisse, selon les autorités. Le gouvernement craignait aussi que moins de personnes décident de travailler, ce qui aurait généré des pertes fiscales supplémentaires.

L’initiative populaire « pour un revenu de base inconditionnel » (RBI) proposait de verser une allocation universelle chaque mois à tous les Suisses et aux étrangers vivant dans le pays depuis au moins 5 ans, qu’ils aient ou non déjà un emploi.

http://www.24heures.ch/suisse/resultats ... y/13003118

http://www.capital.fr/a-la-une/politiqu ... se-1134884

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Our entire currency system is imaginery. It doesn't really exist. It's just that we're all dreaming the same dream. If anybody chooses to wake up... It's over with...


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 06 Juin 2016 11:57 
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la suisse a voté contre


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 05 Sep 2016 10:54 
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Le revenu de base arrive en Finlande : exemple à suivre ou à fuir ?
2 septembre 2016

La Finlande est en train d’étudier de manière sérieuse l’instauration d’un revenu de base. Pendant deux ans, la mesure sera testée auprès de 2000 personnes et pourrait être étendue par la suite. La prudence reste cependant de mise : la généralisation de cette disposition dans le pays pourrait être accompagnée d’une suppression des aides sociales d’autre part. Les militants restent globalement divisés sur la manière de mettre en place un tel système.

Le gouvernement finlandais a pris la décision de tester un revenu de base. Celui-ci sera versé à chaque citoyen, sans conditions. Le Premier ministre actuel, Juha Sipilä (centre droit), avait fait de cette proposition un argument de campagne. Selon le gouvernement, cette décision devrait non seulement aider à relancer le marché du travail, mais également simplifier le système de prestations sociales en vigueur à ce jour, jugé couteux et complexe.

Le lancement de la mesure intervient alors qu’un débat important sur la réforme de l’État est en cours en Finlande, tout comme ailleurs en Europe. Si le système de couverture sociale est particulièrement développé dans ce pays, il n’est plus adapté à sa réalité sociale, estiment de nombreuses personnalités politiques. Otto Lehto qui a travaillé sur le projet de réforme indique :

«[Le système de couverture sociale] est beaucoup trop rigide. Il n’a pas suivi les évolutions de la société et du monde du travail. Calibré pour les réalités du XXe siècle, où l’individu avait un emploi à plein temps, où les familles étaient solides, il ne parvient plus à assumer sa fonction alors que se multiplient les jobs à temps très partiel, que le nombre de micro entrepreneurs précarisés ne cesse de croître, qu’un mariage sur deux se conclut par un divorce. Autant de situations qui amènent les gens à se retrouver fragilisés, piégés par des effets de seuil, des retards bureaucratiques. Avec un revenu de base universel, nous simplifions ce système, sortons les gens du piège qui se referme sur eux et les incitons à se remettre au travail.»

Pendant deux ans à partir du 1er janvier 2017, le système doit être testé sur un échantillon de 2000 personnes en âge de travailler et choisies au hasard. Chacune d’entre elles se verra verser une somme de 560 euros par mois (qu’ils travaillent ou non). Si le montant exact du revenu fait débat au sein de la classe politique, d’autant qu’il n’est pas très élevé, la suppression concomitante des aides sociales pose un problème de fond important. Comment vont pouvoir survivre les individus qui ne peuvent pas trouver un travail (les raisons pouvant être infiniment nombreuses, depuis la maladie à l’incapacité de travail) avec ce montant largement sous le seuil de pauvreté ?

Création d’emplois et simplification administrative

Le gouvernement souhaite apporter une réponse aux problèmes économiques que traverse le pays depuis quelques années. Alors que l’économie se transforme progressivement et que le tertiaire connaît un développement important, le pays n’a pas réussi, tout comme nombreux de ses voisins européens, à adapter la stratégie nationale à un marché de l’emploi en évolution. En effet, le pays souffre d’un chômage qui stagne autour des 10%, un chiffre relativement élevé pour la Finlande. Dans ce contexte, le Premier ministre espère entamer une réforme d’envergure qui devra favoriser un retour à l’emploi et soutenir les travailleurs indépendants. Le versement d’un revenu de base en serait la clé de voûte.

Seulement, le projet prévoit également de simplifier le fonctionnement administratif du pays : sa complexité engendre des déficits importants. Ainsi, le revenu se substituera tout bonnement à certaines prestations sociales qui étaient jusqu’alors versées aux ménages les plus défavorisés. Dans la mesure où le ministère n’a pas donné de plus amples précisions à propos du futur exact du système social actuel, il est difficile de juger la proposition.

Un revenu de base à la « Milton Friedman »

Cependant, l’idée (dans sa conception actuelle) est d’inspiration libérale puisqu’elle aboutit à un effacement progressif de l’État. L’objectif premier n’est pas social mais économique : la suppression des prestations sociales existantes et leur remplacement par une couverture plus universelle doit aboutir à une simplification administrative ainsi qu’à une relance économique. De manière plus générale, le débat rappelle que diverses écoles s’affrontent lorsque l’on parle de revenu de base et que l’instrument peut être à l’origine de modes d’organisation collectifs très différents.

Sans aucun doute, le revenu de base fait son chemin au niveau international et au sein des différents partis politiques. La raison est partout la même : la généralisation des nouvelles technologies et de l’internet ainsi que de l’automatisation a abouti à une évolution rapide du marché du travail. Mais la forme exacte que doit prendre ce revenu ainsi que sa raison sociale ne font pas l’unanimité. Au contraire, selon les différentes propositions et la manière de les articuler, on peut voir se dessiner des visions de la société très opposées. Alors que pour certains, comme en Finlande, le revenu de base est un outil destiné à relancer la croissance et l’économie, d’autres y voient une manière de soutenir chaque individu, indépendamment de ses activités : dans cette seconde hypothèse on considère que chacun crée de la richesse en dehors du travail productif classique (femmes au foyer, petits artisans,..).

Alors que le sujet revient de manière de plus en plus régulière dans l’actualité et que la Suisse s’opposait récemment au principe, il reste fondamental d’apporter une attention particulière aux propositions des différents partis politiques, qui poursuivent des fins très différentes.

Source

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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 05 Sep 2016 11:27 
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On peut se demander pourquoi cette allocation universelle est-elle autant d'actualité depuis quelques temps ?

Et si c'était à cause d'une robotisation progressant à une vitesse phénoménale dans tous les secteurs d'activité ? Dans l'industrie, dans la restauration, dans le stockage, dans la construction d'habitations, dans les transports sans chauffeurs, dans les livraisons, dans l'aide à domicile, etc...

Dans l'agriculture par exemple, les nouveaux robots sont capables de détecter et d'arracher les mauvaises herbes, ils labourent les champs guidés par satellites et GPS, ils vendangent, des drones surveillent et cartographient l'évolution des cultures...

Ils ne font jamais grève, sont toujours ponctuels, ne sont jamais malades, ne demandent jamais d'augmentation, travaillent 24 heures sur 24 sans se plaindre, ne sont jamais enceintes ni fatigués. Quelle aubaine pour les chefs d'entreprises qui se libèrent du carcan du code du travail, des taxes sur l'emploi, du problème de la pénibilité des tâches répétitives, des frais liés à l'ergonomie des postes de travail, des syndicats. Quel gain de productivité et quelle augmentation des profits !

Oui mais, que va-t'on va faire des centaines de milliers de futurs nouveaux chômeurs que ces robots vont engendrer ? Sans argent, c'est la famine assurée, la misère, et au bout du chemin probablement la révolte contre ceux qui ont permis cette évolution ? Et ce n'est pas pour dans 10 ans, c'est déjà demain...

C'est un gros problème qui doit effrayer les politiques car ce ne sont pas les robots qui voteront pour eux.
Alors il leur faut trouver une solution rapidement et verraient-ils le revenu universel comme une planche de salut ? Payer les gens à ne rien faire en taxant les nouveaux profits réalisés grâce à la robotisation de l'économie ?

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06 ... hamps.html
http://dailygeekshow.com/robot-dominanc ... n-societe/
http://dailygeekshow.com/tracteur-futur ... riculture/

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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 05 Sep 2016 19:26 
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tout à fait d'accord

notre éduc nat' est le plus gros employeur au monde après l'armée chinoise et les chemins de fer indien parait-il...

suffirait d'organiser les activités dans nos grosses boites et administrations de manière un peu plus "intégrée", sans parler des dépotoirs du tertiaire qui s'auto-alimentent à liquider sans autre forme de procès, etc...

tu doubles le chômage en un coup de baguette magique, facile

alors si t'ajoutes tout ce que l'on pourrait faire avec la robotique

on doit pas être loin des 20% de la population active uniquement suffisant pour que finalement ça marche quand même (Brzezinski ?)

leur revenu universel c'est pour que l'on continue à consommer, même quand on serait plus intégrable à des activités rationalisées, que ceux qui accumulent continuer à accumuler, qu'on continue à voter, que ça pète pas, que l'on reste dépendant de la matrix.

objectif idiocratie.


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 13 Sep 2016 16:53 
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LaDoub a écrit:
L’essor des robots est beaucoup plus rapide que ce que vous pensez !
Mais où sont passés les humains qui travaillaient avant sur ces différents postes…..
http://www.quiperdgagne.fr/lessor-des-r ... ous-pensez


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 20 Sep 2016 15:59 
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Après les robots, les cobots !

Le cobot, votre nouveau collègue de boulot
Jamal El Hassani – 19-09-2016

Alors que les robots sont regardés de plus en plus souvent comme les nouveaux vecteurs d’un chômage de masse, le robot collaboratif, ou cobot, propose exactement le contraire : une machine qui ne peut se passer de l’Homme. Mais jusqu’à quand ?
Les cobots tirent leur nom de la contraction des termes anglais «collaborative robots». Ces robots d’un nouveau genre ont une particularité: ils travaillent en collaboration avec un humain, dopant sa productivité en le délestant des missions les plus ingrates, éprouvantes et répétitives. Alors que les robots sont regardés de plus en plus souvent comme les nouveaux vecteurs d’un chômage de masse, les cobots proposent exactement le contraire : une machine qui travaille main dans la main avec l’Homme.

BMW a par exemple installé des cobots qui travaillent à côté des employés sur les chaînes de montage de son usine américaine de Spartanburg (Caroline du Sud). Ils s’occupent notamment de l’isolation et de la protection des matériaux électroniques dans les portes des voitures. Des tâches éreintantes que les employés ne pouvaient effectuer plus d’une ou deux heures d’affilée sans ressentir des douleurs aux coudes.

Un enjeu de santé

Cette capacité à réduire la pénibilité au travail et les problèmes de santé des employés intéresse l'industrie. Le maniement d’objets lourds lors d’activités très répétitives peut entrainer différentes troubles musculo-squelettiques (TMS). Le Département du travail américain (l’équivalent du Ministère du Travail) estime que « les troubles musculo-squelettiques liés au travail causent plus de 600 000 blessures et maladies » chaque année aux Etats-Unis, soit 34% des jours de travails perdus. En France, les TMS sont même la première cause de maladie professionnelle.

Les robots collaboratifs peuvent être utiles dans ce domaine. On peut citer le cobot A7.15 développé par la société française RB3D. Il s’agit d’un bras mécanique d’assistance au meulage. Malgré son envergure, l’opérateur humain peut le déplacer sans effort. Il suffit d’un léger mouvement dans une direction pour que cette machine truffée de capteurs comprenne l’intention du travailleur et bouge en conséquence. Jugez plutôt:



Hors des cages

Dotés d'une capacité à remplir des missions plus variées et plus précises que les appareils classiques, les robots collaboratifs sont également plus simples à programmer et à manier. Mais cette interaction entre humain et robot est avant tout rendue possible par des progrès en termes de sécurité. Les machines utilisées traditionnellement dans l’industrie sont retranchées derrières des cages pour éviter les accidents.

Rien de tel avec des cobots, qui remplissent des missions moins dangereuses et peuvent évoluer dans le même espace de travail que les employés. Ils sont également conçus pour détecter et prévenir les erreurs humaines. Et comme en prime, les cobots sont très abordables -on trouve de nombreux modèles entre 20 000 et 30 000 euros-, tout laisse présager leur envol.

Des travailleurs plus efficaces

Cette collaboration étroite entre humain et robot entraine également des gains de productivité, explique Robin Rivaton, économiste et membre du Conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol). « Le cobot s’occupe des parties les plus fatigantes et répétitives, ce qui libère du temps à l’employé pour travailler sur des étapes de la production dont aucune machine n’est capable de se charger. Ce n’est même pas une complémentarité entre robot et humain sur des tâches similaires, l’un sera toujours meilleur que l’autre selon les situations. »



L’un des meilleurs exemples de cette complémentarité est le cobot Baxter. Il est capable de donner des objets et de détecter ceux qu’on lui tend pour les saisir. Baxter fonctionne par mimétisme : pour lui apprendre à réaliser une nouvelle action, il suffit de lui monter comment faire en accompagnant ses mouvements. Il mémorise la marche à suivre et peut ensuite s’en sortir tout seul. Pour en savoir plus sur son fonctionnement:
Et pour voir Baxter en conditions réelles à l’usine:



Cobots et humains, une alliance de raison

Mais quelles conséquences le cobot aura-t-il sur l’emploi ? Selon une étude menée par l’université d’Oxford, d’ici vingt ans, 47% des emplois américains sont menacés par l’automatisation. D’après son co-auteur Michael Osborne, membre du groupe de recherche sur l'Intelligence Artificielle de l’université d’Oxford, les cobots ne pourront pas encore complètement remplacer les humains. « Nous avons identifié trois domaines dans lesquels les robots ne pourront pas se substituer aux humains dans les vingt prochaines années: la créativité, les interactions sociales, les tâches de perception et de manipulation. »

Et c’est ce dernier point qui rend les humains indispensables selon le chercheur. « Baxter est une machine formidable, mais vous ne lui feriez certainement pas confiance pour tenir votre bébé. Les cobots ont encore des difficultés à manier des objets fragiles sans les casser. Ils n’ont pas non plus les capacités intellectuelles des humains qui leur permettent de scanner un pièce à la recherche d’un objet ou d’identifier des erreurs. »

Les robots collaboratifs ont donc encore besoin des humains, mais pour combien de temps ? « Il ne faut pas tomber dans l’angélisme avec les cobots, met en garde Robin Rivaton. C’est un type de robot différent et plus évolué, mais il n’a pas vocation à maintenir l’emploi. On peut très bien imaginer une usine remplie de cobots qui travaillent sans humains. Ils peuvent être collaboratifs entre eux. » Michael Osborne abonde : « A long terme, dans une cinquantaine d’années, l’objectif sera de remplacer complètement les hommes par des machines. »

Source

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« Si la connaissance crée parfois des problèmes, ce n'est pas l'ignorance qui permet de les résoudre. » (Isaac Asimov)


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 21 Sep 2016 13:18 
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Inscrit le: 27 Aoû 2011 18:31
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Citer:
Valls appelle à ouvrir la piste du revenu de base universel

Publié le 21/09/2016 à 12:20
http://www.lefigaro.fr/social/2016/09/2 ... versel.php


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 Sujet du message: Re: Allocation universelle: la Finlande fait le test!
MessagePublié: 21 Sep 2016 14:41 
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Inscrit le: 17 Déc 2009 16:53
Messages: 839
silverculteur a écrit:
Citer:
Valls appelle à ouvrir la piste du revenu de base universel

Publié le 21/09/2016 à 12:20
http://www.lefigaro.fr/social/2016/09/2 ... versel.php


Aller, c'est bientôt fini, il peut dire ce qu'il veut, c'est de la propagande électorale. Il sera légalement hors d'état de nuire dans 9 mois

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