Argenor a écrit:
5. Lorsque la moitié du peuple perçoit l'idée qu'ils n'ont pas besoin de travailler car l'autre partie va s'occuper d'eux et lorsque l'autre moitié comprend que ça ne vaut pas la peine de travailler car quelqu'un d'autre récoltera ce qu'ils méritent par leur efforts, cela est le début de la fin de toute une nation
Patience, on y arrive.
Toutes les professions libérales que je connais (y compris moi, donc ...) ont levé le pied. Finies les semaines de 60-70 heures pour au final se faire défoncer à coups de cotisations diverses et (a)variées, ça me laisse du temps pour ma famille. Pas mal d'artisans qui passent du côté obscur, aussi ... Perso, plutôt que de me faire reprendre au piège de monter une entreprise (pourtant il y aurait matière en termes d'activité) je considère en matière de ratio revenus / emmerdements bien plus rationnel actuellement de grenouiller comme indépendant. Je connais des membres actifs du mouvement des "libérés" et même ça je n'ai plus envie.
Le désormais très bolchévique inconscient collectif français n'aime pas les patrons ? Faisons plaisir à la collectivité, regardez les copains, rien dans les mains, rien dans les poches et pouf, un patron de moins ! C'est toujours un petit pas de plus vers le collectivisme qu'une majorité de partis français -la totalité du panel politique "audible" en fait- appelle de ses vœux, et tant pis pour les postes non crées, ce n'est plus mon problème.
Adressez-vous à la CGT, tiens, ils auront peut-être des solutions.