Ne soyons pas dogmatiques, ni caricaturaux comme les ploucs sur Fesse Bouc.
Il parle à gauche et agit à droite. Il y a une légère inflexion politique, tant intérieure qu'internationale, qui en annonce d'autres. Le balancier repart lentement dans l'autre sens.
Bon signe. Sans jubilation précoce.

Quant à ta formulation "un monarque", c'est dommage qu'il ne le soit pas davantage. Du grec "monos": un seul. Un pilote dans l'avion, et un seul, c'est largement mieux que la merderie parlementaire et parlementeuse.
Il a toutes les qualités nécessaires pour redresser la France, et j'espère qu'on l'aura pour un "octonnat" après son quinquennat, car il faut plus de 5 ans dans le bordel actuel pour inverser la tendance.
Ne boudons pas nos petits plaisirs; il est "Quand Même!" moins nul qu'Hollande, moins hystérique que Sarközy et plus intelligent que MLP.
Donc, cessons les gnangnans... S'il pouvait, EN PLUS devenir un dictateur efficace, si on aime la France, que vouloir d'autre?

Le président américain aurait demandé à son homologue français pourquoi il ne retire pas son pays de l'Union européenne avant de suggérer que les États-Unis pourraient offrir à la France un accord commercial bilatéral s'il le faisait.
Selon un article du Washington Post jeudi, Donald Trump a bel et bien émis l'idée du retrait de la France de l'Union européenne, à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron à la Maison Blanche en avril.
"Pourquoi ne quittez-vous pas l'UE?" aurait demandé de but en blanc le président américain. Dans la foulée, il aurait proposé un accord commercial bilatéral à la France avec de meilleures conditions que celles accordées par les Etats-Unis à l'Union européenne, détaille le Washington Post.
Refus européen des "oukazes"
La Maison Blanche s'est refusée à tout commentaire mais n'a pas démenti. L’épisode reflète en tous cas le scepticisme de Donald Trump envers les organisations et les accords internationaux.
Mais Emmanuel Macron est peu susceptible de se rallier à l’idée. Il s'est d'ailleurs réjoui, jeudi au Conseil européen, de la volonté des Vingt-Huit de refuser les "oukazes" en matière de politique commerciale et de réformer l'Organisation mondiale du commerce.

Seehorfer (le ministre de l'Intérieur et chef des bavarois de la CSU) tiendra une conférence de presse à 21h00 ce dimanche soir.
La Große Koalition devrait éclater. Ca risque de bouger sur l'€/$ à l'ouverture des marchés.

M. Seehofer a fait part de ses intentions lors d’une réunion à huis clos de la CSU à Munich (sud), qui se poursuivait tard dimanche soir. Il entend aussi quitter la présidence de ce parti bavarois, membre de la fragile coalition gouvernementale allemande, ont indiqué ces sources.