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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 12:48 
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LaDoub a écrit:
Suicide Collectif ?

Pour l'honneur d'un homme et l'avenir de la France
02 février 2017

17 élus des Républicains et de l'UDI apportent dans Le Figaro leur « soutien total » à François Fillon


Pour moi, ça veut juste dire, nous, les 17 signataires n'allons pas te virer lors d'un bureau national, on te demande juste de renoncer à ta candidature d'ici quelques jours pour que l'un de nous puisse te remplacer, et bien sûr, avec ton soutien.

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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 13:10 
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Pour l'honneur d'un homme et l'avenir de la France

Malgré la césure après le cinquième pied ce vers ronflant de théâtre n'est pas mal et si Fillon espère se récupérer par le genre théâtral, il peut toujours essayer.


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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 13:21 
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Voici le contrat de travail de Penelope Fillon
http://www.leparisien.fr/elections/pres ... 646842.php
Disons : 1 de ses contrats. Fillon déclarait ne pas savoir où étaient passés ces foutus contrats.
Citer:
La permanence du RPR au Mans
Mais, étrangement, figure également une seconde mention de lieu, en bas à droite, de manière décalée cette fois, avec une adresse plus précise : «10 rue Gambetta», au Mans, adresse qui correspond à la permanence du RPR (devenu depuis LR). Or, il n’y a aucune raison pour que Penelope Fillon, censée travailler entre son domicile de Sablé et la mairie de cette commune, soit rattachée à la permanence du parti de droite. Un mystère de plus.


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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 13:35 
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J'adore le commentaire... :lol:

Citer:
carolinetmoile 02 février 2017 à 10 h 51
Et dans cette famille on est très catholiques pratiquants !?!
J'espère qu'ils ont un confesseur à temps plein ...

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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 13:50 
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On a également retrouvé la note de lecture pour la revue des deux monde (si, les 100.000 euros en 2 ans !)
Pièce jointe:
C3iY9E4WIAA6pE1.jpg
C3iY9E4WIAA6pE1.jpg [ 32.12 Kio | Consulté 3444 fois ]

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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 14:00 
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Inscrit le: 04 Sep 2010 15:35
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Interviou du 20 mai 2007. (quasi 10 ans)



Traduction Google (pour faire fissa...):
Citer:
"Je ne suis qu'un paysan, ce n'est pas mon habitat naturel ", se plaint Penelope Fillon. Il semble que ce soit une revendication peu probable d'une femme qui s'installe ce week-end dans l'Hôtel Matignon, la résidence officielle du 18ème siècle .

Et pourtant on ne peut nier que Mme Fillon, dont le mari François a été élevé au bureau par le nouveau président de la France, Nicolas Sarkozy, a parcouru un long chemin. Elle a été élevée Penelope Kathryn Clarke, dans une famille grande et étroitement unie à Abergavenny.

Alors que nous sommes assis dans un café du Sixième Arrondissement de Paris, près de ce qui était sa maison familiale avant que son mari n'ait reçu les clés de l'équivalent français du 10 Downing Street, il n'y a aucune trace d'un accent galloise, Elle insiste sur le fait qu'elle reste fidèle à ses racines rurales.
«Je ne refuse pas d'aller à des dîners ou à des événements, dit-elle, mais ce n'est pas ce que j'aime particulièrement faire. Je ne suis pas un animal de fête de Paris, je suis le genre de personne qui préfère assis à l'arrière du Observer et écouter les autres.
«Quand je suis à la maison de mon pays, je peux sortir avec un vieux pantalon et ça n'a pas d'importance parce que les gens du coin pensent:« Oh, elle est juste un de ces types de jardinage anglais ». Ici, je devrai faire plus d'un effort."
«Ici» est le beau monde de l'élite politique française, où elle et son mari partageront la scène avec M. Sarkozy et la nouvelle et glamourale première dame française, Cécilia. Aujourd'hui, dans sa veste, son jean et son bandeau, Mrs Fillon, 51 ans, a apparemment sans effort, ramené chic country à la capitale française. Elle allait s'occuper d'une stalle dans une fête de village anglais.
Mme Fillon n'est pas entièrement à l'aise de se trouver l'objet de l'observation. Fille d'un avocat aux yeux bleus perçants, elle se retourne contre le titre de «deuxième dame».
«Les gens me demandent quel est mon nouveau rôle, mais il n'y en a pas, je ne suis pas comme Cherie Blair. Une fois cette semaine terminée, tout disparaîtra et je pourrai continuer comme avant», dit-elle. «Je ne suis pas reconnu dans la rue et j'espère ne pas le faire. Cela m'épouverait.
«En fait, parce que mon mari est reconnu, je marche souvent de l'autre côté de la route, ce qui, je suppose, n'est pas très gentil de ma part.
Tout comme le style détendu de son mari, ancien ministre de l'Education et du Travail pour le parti UMP de centre-droit, a été décrit comme un contrepoint à l'approche énergique de M. Sarkozy, Penelope Fillon est le contraire de Cécilia Sarkozy.
La mère modeste de cinq personnes ne cache pas le fait qu'elle préfère être dans son château du 12ème siècle dans la circonscription de son mari avec ses enfants et ses chevaux que s'habiller pour les fonctions de l'État. Ses seuls bijoux visibles quand nous nous rencontrons est une montre unostentatious et un anneau de mariage si fin il ressemble à un brin de fil.

«J'ai rencontré Cécilia Sarkozy à plusieurs reprises, mais elle est très parisienne et je suis, comme je l'ai dit, paysanne, elle fait partie de ce monde parisien et je ne le suis pas», dit-elle.
Malgré cela, Mme Fillon est diplomatique lorsqu'on lui a posé des questions sur les prétendus problèmes conjugaux de Sarkozys ou la décision de Mme Sarkozy de ne pas voter aux élections présidentielles il y a quinze jours. "Hmm, le vote a été un peu étrange, je suis passé par tout le rigmarole d'obtenir la nationalité française juste pour pouvoir voter il ya 15 ans, donc ça m'a semblé assez bizarre", dit-elle en mesurant visiblement ses paroles.
Elle est beaucoup moins gardée et devient soudainement animée, en décrivant les différents personnages du nouveau président de la France et de son mari. "Nicolas Sarkozy est né vouloir être président, il est incroyablement motivé et visible. Ce que François apprécie à son sujet, c'est qu'il est totalement ouvert et ne fait pas les choses derrière le dos des gens.
"Il est tout droit sur la ligne que Jacques Chirac n'était pas du tout. Sarkozy sait ce qu'il veut mais écoutera une opinion et un bon argument.
"François a une approche plus calme et il est très conscient de la nécessité du dialogue et du compromis, il est tout aussi déterminé, mais il n'a pas l'instinct tueur, contrairement à la plupart des politiciens. Une bonne chose en tant qu'être humain, mais peut-être pas aussi bonne ambition-sage. "
Les amis avaient décrit Mme Fillon comme «discrète» et «très gallois et fière d'être gallois». Elle était l'aînée de cinq enfants du solliciteur Colin Clarke et de sa femme Glenys, à Abergavenny quand elle était, dit-elle, «un petit bourg». Elle a fait des niveaux A en anglais, en français et en allemand au King Henry VIII Grammar School, puis un diplôme en français et en allemand au University College London.
C'est au cours de sa dernière année de diplôme, passé comme assistante d'enseignement dans une école intermédiaire du Mans, dans l'ouest de la France, qu'elle a rencontré son futur époux, puis étudiant en droit. «J'ai été invité à un dîner et il était là. Bien sûr, je me souviens du dîner mais, non, ce n'était pas un moment particulièrement impitoyable», dit-elle dans sa meilleure voix sans faille.

Ce n'est que lorsqu'elle retourna en Grande-Bretagne pour étudier le droit à l'Université de Bristol, dans l'intention de suivre les traces de son père, qu'elle se rendit compte qu'elle manquait le beau Français. «Il viendrait sur le ferry et le train de nuit pour me voir», dit-elle. "Puis, quand j'ai fini mes examens de la Law Society, nous avons décidé de nous marier et je suis venu vivre en France, acceptant que ce serait pour de bon."
Ils se marient à l'église de Saint-Barthélemy du XVIIe siècle, dans le village de Llanover, près d'Abergavenny, en juin 1980. Trois ans plus tard, sa sœur Jane épouse le frère cadet de son mari, Philippe. «Mon père était très content d'avoir épousé un Français, alors que ma sœur a fait de même, il a interdit nos deux autres sœurs aux Français», plaisante-t-elle.
En 1981, les Fillons partent de Paris vers sa région natale de Sarthe, où peu de temps après, leur enfant aîné et sa fille unique, Marie, âgée de 25 ans, est née. Trois autres enfants - Charles, 23, Antoine, 21, et Edouard, 17 - ont été suivis il ya cinq ans par Arnaud.
Pendant que François poursuivait sa carrière politique trois jours par semaine à Paris, elle resta au pays avec les enfants. «Je n'ai jamais eu le mal du pays, mais parfois je me sens un peu exaspéré avec les Français, comme vous, car ils peuvent avoir tendance à penser qu'ils sont supérieurs aux autres.
Tout le monde pense que les Britanniques sont froids et antipathiques, mais les Français ne sont pas particulièrement chaleureux et accueillant, ce sont les petites choses de tous les jours qui me dérangent, et le font encore, le manque de politesse sur la route, au début.
«Dans mon esprit, je vois l'Angleterre comme il y a 50 ans, un endroit idyllique, puis je reviens et ce n'est pas tout à fait aussi merveilleux que je le dis aux gens ... Alors vous avez des Anglais avec cette idyllique vue sur la France. 'Attitude. "
Elle se décrit comme "Anglo-Gallois". "Mon père était anglais à travers et à travers, et Abergavenny est beaucoup une ville frontalière, donc je ne dirais pas que j'étais un nationaliste gallois."
Elle rit quand on lui demande si elle parle le gallois. "Non, pas du tout et en fait les panneaux routiers en gallois m'irritent parce que ça prend tellement de temps pour les lire.Mais je suis très fier du Pays de Galles quand ils jouent au rugby.C'est à ce moment que mon côté gallois sort.Tout le reste de la famille Sera de soutenir la France, ou même l'Angleterre si ils jouent au Pays de Galles, et je serai le seul soutien du gallois.

"Un des amis de mon fils est rentré à la maison après un match et a dit à sa famille qu'il n'avait jamais réalisé que la mère de Charles pouvait devenir si excitée."
Une autre excitation, dans un pays où vous connaissez la persuasion politique de quelqu'un avant leur profession, est prolongé Fillon dîners de famille. "Ma belle-mère, qui a enseigné l'histoire à l'université, est peut-être plus, comment puis-je dire, socialement et plus à gauche, alors parfois il peut devenir très animé. Personne ne tombe, mais il peut devenir un peu chauffé."
Mme Fillon, connue sous le nom de Penny à ses amis, est retournée à Paris il ya cinq ans, afin que son mari puisse passer plus de temps avec leur plus jeune fils. "Il ne voulait pas manquer de voir Arnaud grandir comme il l'avait fait avec les autres", dit-elle. «Ce n'est pas désagréable à Paris que vous sachiez que vous pouvez retourner au pays le week-end. J'ai cinq chevaux, mais quatre d'entre eux sont vieux et à la retraite et je n'ai pas monté pour les âges, malheureusement.
Elle vient également de lancer un cours d'Open University en littérature anglaise. "Pour le moment, je fais Shakespeare et c'est un superbe antidote à la France", plaisante-t-elle. «Je me suis rendu compte que mes enfants ne me connaissaient que comme une mère, mais j'ai fait un diplôme de français, j'ai été qualifié d'avocat et j'ai pensé:« Regardez, je ne suis pas stupide ». "
Sa descendance aînée poursuit la tradition familiale: Marie, maintenant mariée, se qualifie comme avocat cet été et Charles étudie le droit. Antoine est à l'école de commerce, tandis qu'Edouard et Arnaud sont encore à la maison.
À partir de cette semaine, «maison» devient l'Hôtel Matignon, quelque chose que Mme Fillon prend dans sa foulée. «Comme je l'ai dit, ce n'est pas mon habitat naturel», souligne-t-elle. "D'ailleurs, j'ai appris avec tous ces ministères que vous devez être prêt à partir à tout moment.
"Quand François a été au ministère de l'éducation, ils lui ont dit qu'il était hors du travail à 13 heures et que nous étions sortis de la place à 17 heures. Mon attitude est que je suis juste de camping à l'endroit. C'est, pour ainsi dire, une attitude très britannique



... :arrow: ..traditori trahitori...


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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 14:30 
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Ludo33 a écrit:
... :arrow: ..traditori trahitori...

Traduttore, traditore est une expression italienne signifiant littéralement : « Traducteur, traître », soit : « Traduire, c'est trahir ». Il s'agit d'une paronomase (pan dans les dents de num...!) :lol:
Le défunt Umberto ECCO -RIP- disait que "la langue de l'Europe, c'est la traduction" pas étonnant que ce soit si bancal !

Citer:
Mme Fillon, connue sous le nom de Penny par ses amis
Ah les histoires de fric ......


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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 14:46 
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Touchau a écrit:

Citer:
Mme Fillon, connue sous le nom de Penny par ses amis
Ah les histoires de fric ......


Et encore, là ce n'est rien. Songez que si elle avait été plusieurs, certains en France auraient trouvé matière à blague grivoise.

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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 14:52 
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moi je les aime bien les Fillons :lol:
j'ai payé mon billet d'entrée au cirque et maintenant je veux voir la fin du spectacle !


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 Sujet du message: Re: L'interview de Penelope Fillon au Telegraph
MessagePublié: 02 Fév 2017 14:56 
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Localisation: Au sud de Paris
Vu ce que nous coûte notre classe_politique_qui_se_sacrifie_pour_le_bien_du_pays (tant en coûts directs qu'en coûts induits par leurs conneries) franchement, je me demande si je ne vais pas demander à être remboursé.

Le spectacle ne sera jamais à la hauteur du prix du billet.

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