j'ai vu des situations ou des patrimoines financier hors normes.... avaient droit à tout un tas d'aides parce que revenus (du travail) faibles voir inexistants... alors qu'assis sur les matelas financiers CONSIDERABLES placés en AV ou autres ...

et oui ... et il y'en a un paquet comme ça et ces gens la étaient quasi intouchables ....

des couples qui toucheent des APL et des alloc a tarbasse alors qu'assis sur des patrimoines financiers monstrueux placés en AV... OUI OUI .....

C'est un peu comme vouloir l'interdiction des espèces parce que 10% des gens font des conneries avec du cash...

Un de mes plus anciens potes touche une retraite "de misère"; n'est donc pas imposable; touche plein d'aides... mais dispose de 3 beaux appart' à Paris, qu'il loue au black depuis plus de 20 ans... et d'un copieux capital (> 10 M€) placé en obligat° dans une bq de tte discrétion dans un pays voisin.
Comme il dit lui-même: "Plus d'argent que je ne pourrai jamais en dépenser..."

Mais lui n'a aucune AV en France...

[...]et allait en porsche émarger à l'ANPE.

Réforme de la fiscalité du PEL : les gagnants et les perdants après les annonces du gouvernement


Publié le 12/09/2017 à 17h07
Réforme de la fiscalité du PEL : les gagnants et les perdants après les annonces du gouvernement


Dans une interview aux Echos, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a détaillé mardi les nouvelles règles de la fiscalité pour le Plan d’épargne logement. Voici donc ce qui changera pour vous, selon la date à laquelle vous avez ouvert votre bon vieux PEL.
Pour les PEL ouverts il y a plus de 12 ans :

À compter de l’an prochain, les intérêts produits par les PEL de plus de 12 ans, pourront être imposés au prélèvement forfaitaire unique à 30%. En choisissant cette option, la plupart détenteurs de ces vieux PEL vont voir leur fiscalité baisser.

Rappelons en effet qu’au bout de 12 ans les intérêts générés sont actuellement soumis au barème de l’impôt sur le revenu (dont les taux vont de 0 à 45%), ce à quoi s’ajoutent les prélèvements sociaux. Au global, la taxation des PEL de 12 ans et plus oscille donc entre 15,5% et 58,21%, selon la tranche marginale d’imposition dans laquelle se situe le ménage.

Avec la réforme annoncée par le gouvernement, vous aurez donc le choix entre rester à cette taxation (IR+ prélèvements sociaux) ou passer au prélèvement forfaitaire à 30%. Or en prenant en compte, l’augmentation de la CSG de 1,7 point, également actée pour 2018, seuls les ménages non imposables auront en réalité intérêt à rester à une imposition au barème de l’impôt sur le revenu, les autres devant plutôt privilégier l’imposition à 30%.

Un exemple clair pour bien comprendre : un ménage situé dans la tranche marginale d’imposition à 14% sera demain taxé à un peu plus de 30% s’il choisit de rester imposé au barème de l’impôt sur le revenu.



Tous les plans ouverts avant le 1er janvier 2018, resteront exonérés d’impôt sur le revenu jusqu’à leur 12ème anniversaire. Comme aujourd’hui, ces produits ne seront donc soumis qu’aux seuls prélèvements sociaux. A noter que la hausse de 1,7 point de la CSG à compter du 1er janvier va toutefois légèrement peser sur la taxation de ces PEL de moins de 12 ans. L’imposition des intérêts passera en effet de 15,5% à 17,2%.
Pour les nouveaux PEL ouverts à compter du 1er janvier 2018 :

C’est la surprise du chef ! Alors que le gouvernement avait promis de ne pas toucher à la fiscalité de l’épargne réglementée (Livret A, LLD…), Bruno Le Maire fait une entorse à la règle en annonçant que les PEL ouverts à compter du 1er janvier 2018 seront imposés au PFU de 30% dès la première année.

Avec une telle annonce, le gouvernement semble vouloir signer l’arrêt de mort du plan d’épargne logement. En effet, un épargnant qui ouvre aujourd’hui une PEL ne peut compter que sur une rémunération brute de 1%. Imposé à 30%, son PEL ne lui rapportera plus que 0,7% net… Soit moins que le Livret A dont la rémunération est, rappelons-le, tombé à 0,75% !

attendez c'est pas le quidam moyen qui possède plus de 300 000 € à 2 en AV ou PEL faut pas déconner non plus ....