CHINA’S PBOC STARTS 500B YUAN SLF TODAY, SINA.COM SAYS
PBOC PROVIDES 500B YUAN LIQUIDITY TO CHINA’S TOP 5 BANKS: SINA
PBOC PROVIDES 100B YUAN TO EACH BANK TODAY, TOMORROW WITH DURATION OF 3 MONTHS: SINA

http://www.zerohedge.com/news/2014-09-1 ... stealth-qe

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/11/25/le-pari-de-juncker-pour-relancer-l-investissement-en-europe_4529271_3214.html
Mais rien ne les arrêtera !
C est pas possible de lire cela

Ce plan de relance est censé combler un déficit d'investissement hérité des années de crise. Il doit servir à financer des projets d'infrastructure énergétique, numérique ou de transport. Des projets en panne de financements car jugés trop risqués.

Le reste, à hauteur de plus de 270 milliards, sera apporté par des cofinanceurs publics (par exemple des banques publiques nationales)....

Quels projets seront financés? Les Etats membres ont tous envoyé leur liste de souhaits ces derniers jours (sauf l’Allemagne et les Pays-Bas, qui se sont pour l’instant abstenus). « A ce jour, on compte 800 projets. Mais tous ne seront pas financés »

Un comité indépendant d’experts, « pas des politiques ou des technocrates », précise-t-on à Bruxelles, fera le tri final.

Le président de la Commission aura aussi besoin de l’accord du Parlement européen et des Etats membres. Car pour mettre de l’argent du budget européen en garantie du fonds, les textes communautaires doivent être amendés.

L’accueil est mesuré : « Certes, il n’y a pas d’argent public, mais si cela ne nous coûte rien, c’est quand même bon à prendre », selon une source française.

Bonjour à tous,

Je up le sujet, car pas moyen de trouver les graphs souhaités et surtout à jour.

Est-ce quelqu'un pourrait publier des graph montant l'évolution des principales monnaies par rapport au PIB du pays émetteur (pays de la zone euro pour ce qu'il s'agit de l'euro).

Je cherche à voir, à partir d'une base 100, quels sont les pays qui ont vraiment abusé. On les connait évidemment (je mets une pièce sur le yen), mais j'aimerai avoir des chiffres au lieu d'affirmations.

Donc, si quelqu'un pouvait faire cela (USD, euros, Yen, GBP, etc... je ne connais pas ce que représentent en volume ces deux dernières monnaies vis à vis de l'euro et USD), ce serait cool.

Merci

Weidmann rejette Souverain-Bond achat Même si la déflation émerge
Par Jeff Black et Jana Randow Dec 16, 2014 12:00 PM GMT+0100
- Commentaires Email Print

Enregistrer
Photographe: Krisztian Bocsi / Bloomberg

Président de la Bundesbank Jens Weidmann a dit, "Il ya toute une rangée de raisons économiques qui ... Lire la suite

Jens Weidmann a dit qu'il n'y a pas de nécessité pour la Banque centrale européenne à élargir relance monétaire, et a fait valoir que les achats de dette souveraine ne sont pas une solution, même si l'effondrement des prix du pétrole causent déflation.

"Un tel développement nécessite d'abord l'absence de réponse de la politique monétaire, tant qu'aucune effets de second tour sont à voir", le président de la Bundesbank a déclaré lors d'un événement lundi soir à Francfort . "Il ya toute une rangée de raisons économiques qui parlent contre les achats des obligations d'État, avant même que vous considérez la question juridique de savoir si elles sont compatibles avec l'interdiction du financement monétaire."

L'accélération des prix du pétrole la crise de cette année a avivé le débat dans la BCE au cours de nouvelles mesures politiques pour repousser la déflation, avec le président Mario Draghi amorçage investisseurs pour plus d'achats d'actifs dès le prochain trimestre. Weidmann, et jusqu'à cinq autres membres du Conseil d'administration, sont contre pré-annonçant l'achat d'obligations d'État avant que les effets des programmes existants peut être jugée.

"Nous avons déjà agi, à titre préventif, dans l'attente d'une aggravation de la situation économique», a déclaré Weidmann. "Mais cela ne joue qu'un rôle mineur dans la discussion. Au lieu de cela, ce est seulement jamais demandé, «ce qui vient ensuite? Et puis surtout la question: «Quand allez-vous enfin acheter des obligations d'État? Cela soulève les attentes de cette mesure à un niveau tel qu'ils ne peuvent être déçus ".
Pas de miracles

Comme l'économie de la zone euro 18-nation a stagné cette année, un prix du pétrole qui a chuté d'environ 44 pour cent depuis Janvier a aidé entraînement inflation proche de zéro, ce qui soulève le spectre d'une spirale des prix négative. Weidmann a fait valoir que quelques mois de taux d'inflation négatifs ne signifie pas la déflation.

Pourtant, comme la BCE interprète son mandat comme maintenir l'inflation proche mais inférieure à 2 pour cent, il a commencé à acheter des titres adossés à des actifs et des obligations couvertes cette année, ainsi que le lancement d'un programme de prêts bancaires à long terme dans le but de stimuler le crédit et demande. Même si ces mesures se avèrent insuffisantes, il n'y a pas beaucoup de preuves que l'achat de dette souveraine pourrait fonctionner comme il l'a aux États-Unis, le Royaume-Uni et le Japon , Weidmann dit.

"Les simulations montrent que l'assouplissement quantitatif dans la zone euro serait capable de soulever le taux d'inflation, mais il ne faut pas attendre des miracles," at-il dit. "Volumes importants devront être déployés, même pour obtenir un effet modeste et incertaine."

Au lieu de cela, l'achat de la dette souveraine ne ferait que soulever la pression des gouvernements à maîtriser dans les budgets et pour rendre leurs économies plus compétitives, at-il dit.
Contribuable risque

"Un vaste programme QE peut - en contournant les parlements et les gouvernements - conduire à une redistribution des risques entre les contribuables dans les pays membres, à moins que les achats sont limités à des pays avec la cote de crédit la plus élevée ou chaque banque centrale achète des obligations au risque de son propre pays. "

Weidmann a reconnu que les attentes des achats obligations souveraines sur le marché ont été renforcées depuis la dernière réunion monétaire-politique de la BCE, à laquelle Draghi poussé à travers un engagement à élargir le bilan d'environ un billion euros ($ 1,25 trillions), et a dit qu'il est bon que le débat sur la politique est un animé.

"Les marchés à un moment donné ont d'apprendre que pas toutes les attentes, pas tous les souhaits, sera accomplie," at-il dit. «Ce est peut-être pas si mauvais quand l'impression se pose que le débat sur le Conseil des gouverneurs ne ressemble pas à un groupe de lemmings tous les cours d'exécution dans la même direction."