Techniquement bien fait, mais un peu court. Mais à la fin, le journaliste agaçant avec ses questions auxquelles il répond tout seul. L'or de la montre de la bijoutière suisse (qui reste très polie face au journaliste habillé en flic de la BAC) est sale ?
Bien sûr !
C'est un mélange d'or Congolais illégal (le sujet du reportage), d'or sud-africain extrait par des mineurs victimes d'Appartheid, d'or nazi spoilé, d'or Italien volé par Napoléon, d'or Inca volé par les conquistadors, d'or Byzantin volé par César et d'or Égyptien extrait par des esclaves.
L'or est un monde sulfureux, comme celui du pétrôle, celui de la banque... enfin comme tout où il y a un peu de pognon.
Reportage fait par un bizounours au pays des requins qui découvre que les requins sont pas gentils. Bof.
La prochaine fois, faire un reportage dans le
monde où tout le monde est un poney qui mange des arc-en-ciel et chie des papillons.