Je vois ici et là de singuliers vautours remettre en cause l'avenir de l'or à partir de prédictions négatives de certains "experts". On se demande parfois s'il s'agit de trolls, si ces personnes sont sincèrement dégoûtées de l'or ou si elles sont payées pour dégoûter les gens de toute alternative à la sacrosainte monnaie dominante. Quoi qu'il en soit, en ces temps difficiles, nous les parias qui osons croire dans les métaux précieux, nous savons où est la vraie valeur. La vraie valeur ce n'est pas du papier qui se multiplie à l'infini et qui tente de nous faire croire que le cours de l'or chute. La vraie valeur, ce n'est pas un petit spasme électronique qui sur nos écrans tente de nous dire que la fin de l'or est arrivée. La vraie valeur, c'est ce que vous avez dans les mains, cette merveilleuse parcelle d'or que les nations s'arrachent. Et cette parcelle que certains jettent à présent dans la boue, cette larme dorée que l'on tente d'enfouir dans la fange tant elle dérange par sa rareté, cette fabuleuse pépite porte toujours en elle une lumière qui n'est pas près de s'éteindre. Elle reviendra briller après le déluge qui s'abattra inexorablement sur notre monde économique gangréné par les dettes et la spéculation. Dès lors à tous ceux qui perdent espoir, je dis patience, tout est loin d'être fini. Bien au contraire, avec la fin du papier, c'est l'or, le vrai, qui renaitra.
Nous ne faiblirons pas
Nous ne faiblirons pas, l’or est notre étendard
Brillant au grand soleil sur les mains de nos belles
C’est notre vérité à nous autres rebelles
Et nous le hurlerons aux marchands de brouillard.
Avec l’or plieront le yen et le dollar
Avec l’or tomberont les vendeurs de poubelles
Les banquiers corrupteurs et prêcheurs de gabelles.
Devant l’or pleureront ces odieux charognards.
Petits mais courageux, nous ne lâcherons rien.
Tout débancariser et planter ces vauriens
Avec leurs beaux papiers, voilà notre estocade.
Et qu’ils fassent tomber les cours de nos métaux
Croyant nous écraser les couilles dans l’étau …
Tout racheter pour rien, c’est là notre croisade !