Merci pour vos soins!
L'anglais, le soir, ça me sort par les narines! Et avec l'accent américain, c'est aussi nasillard que le chinois de certaines régions, grand ouest et grand nord: il faudrait les opérer des végétations.
Quand je lis de l'anglais, je l'entends -et c'est une atteinte au bon goût français et à l'harmonie. Des langues d'enrhumés, de rizières ou de far-west sans mouchoir, de poussière et de sinusite... Des langues de courants d'air permanents. Des langues morbides.
Donc, en français, vous m'aidez à entretenir cette bonne santé et cette alacrité, bases de notre culture.
Hors-sujet:
Exactement comme le polonais chuinte autant dans les langues slaves que le portugais dans les langues latines. Des langues de femmes de ménage et de maçons alcooliques. Des peuples qui manquent d'appareils dentaires. Ch'est vrai! Chi! Zjle jure! Langues de confins.
Comme une autre langue (très vieille) que je ne nommerai pas (PAS de POLÉMIQUE!) qui met des "ch" partout... et qui en a laissé avec son passage dans ces 2 régions (Pologne et Portugal): shalut! sha va? T'as un chat batt'!
Au Portugal, les Da Coshta n'étaient pas des Chrétiens (différenche avec les Da Silva)... et en Pologne, on les guette haut. Ainsi qu'à Vilniush, Kaunash (-Toi-même!)
L'écrivain français Henri Pourrat rapporte que les vieux et les vieilles lui contaient, dans sa jeunesse, que les Jauvergnats ne cheraient pas des Cheltes, mais june des 10 tribus perdues, inshtallées là, puis converties. Quand on voit le fachiès des j-Aveyronnais, des bougnats, on she dit que ch'est très pochible...
Mais Chut!...