goldzilla a écrit:
Ils sont en train de passer à la vitesse supérieure, pour censurer l’information et identifier les lanceurs d’alertes, ça devient vraiment grave
Il faut se rappeler les articles élogieux des journalopes sur le rôle d'internet, et des réseaux sociaux en particulier, dans les "révolutions arabes" et "autres révolutions de couleur"...
Citer:
Comment Internet a fait les « printemps arabes »
Si les réseaux sociaux ont permis d’organiser les manifestations et de contourner les médias officiels, en 2011, ils ont aussi recomposé l’espace social.
Le 6 février 2011, les manifestants de la place Tahrir, au Caire, écrivaient sur le sol les mots suivants : « Nous sommes les hommes de Facebook. » De l’avis de tous les experts qui allaient s’emparer du sujet, les révoltés du monde arabe au printemps 2011 bénéficiaient de notre entrée collective dans l’âge des réseaux sociaux. Ces derniers leur ont permis d’organiser les manifestations et de contourner les médias de masse pour en diffuser les images, témoignages et autres preuves d’exactions policières.
Mais leur « capacité » disruptive, la force avec laquelle ces mouvements ont réussi à imposer leur propre narration des faits, vient en partie d’une recomposition de l’espace social à l’ère d’Internet.
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... _3232.htmlCiter:
Le Printemps arabe, la première révolution smartphone
Jamais révolution n'avait autant rayonné. Grâce aux réseaux sociaux et aux smartphones, l'esprit du Printemps arabe a déferlé au Moyen-Orient et contribué à renverser des dictatures vieillissantes.
A l'époque, faute de maîtriser ces outils, les régimes d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient ont été pris de court par la vitesse de propagation de la ferveur de ces soulèvements populaires sur internet.
Hyper-connectées et majoritairement sans chef de file, ces mobilisations qui ont fait le Printemps arabe ont fusé tous azimuts, tels des flashmobs difficiles pour les autorités à juguler, avec des doléances issues de conciliabules publics sur internet sans comités directeurs à huis clos.
"Les blogs et les réseaux sociaux n'ont pas été un déclencheur mais ils ont accompagné les mouvements", estime l'ancien militant tunisien Sami Ben Gharbia, auteur d'un blog en exil et rentré dans son pays lors du soulèvement en 2011. "Ils ont été une arme de communication redoutable."
https://www.nouvelobs.com/societe/20201 ... phone.htmlDeux articles élogieux sur le rôle d'internet dans les révolutions de couleur dans les pages des principaux organes de propagande en France...
Mais, depuis le covidisme, l'Immonde, l'Aberration et d'autres merdias subventionnés n'ont pas l'air d'apprécier les narrations alternatives à la doxa du gouvernement ripouxblicain que l'on peut consulter sur internet... Leur rôle est de disqualifier toute opinion dissidente au régime au pouvoir...
Les apparatchiks, s'ils veulent s'accrocher à leur siège le plus longtemps possible, n'ont donc pas trop le choix de faire le ménage sur internet: censurer la libre expression, éliminer les commentaires, détruire les groupes sociaux, faire taire les lanceurs d'alerte, monter et financer des équipes de trolls "fact checker", etc...